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Conseillé par Alain D. (Le Passage Culturel)28 mai 2018
Coup de coeur du Passage Culturel
L'histoire d'Elspeth, une artiste peintre réfugiée dans une résidence pour artiste en burn-out, sur une île au large des côtes Turques : Portmantle. Elle y vit depuis plusieurs années lorsque débarque un jeune homme énigmatique et tourmenté qui va bouleverser la vie de la jeune femme... Après Le complexe d'Eden Bellwether que j'avais adoré, Benjamin Wood renoue avec le thème de l'art en s'intéressant ici à la peinture et nous livre un roman fascinant sur les affres de la création. Intrigue originale, atmosphère mystérieuse, construction déroutante... Préparez-vous à être surpris !
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Conseillé par La Mandragore (Librairie La Mandragore)13 décembre 2017
Un roman hypnotique !
L'écliptique : un titre énigmatique, un roman hypnotique !
Elspeth Conroy, alias Knell, est pensionnaire d'une institution étrange et secrète qui accueille des artistes en dépression. Quand un petit nouveau est retrouvé mort, Knell commence à se poser des questions.... et nous aussi !Laëtitia
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Conseillé par Sophie F. (Espace Pierre Lecut)31 octobre 2017
« coups de coeur de Sophie »
Nous sommes en 1972 à Pormantle une colonie « secrète » qui accueille des artistes en panne d’inspiration comme Elspeth Conroy que l’on connaît sous le pseudo Knell mais aussi Mc kinney, Pettifer ou Quickman.
L’arrivée du jeune Fullerton va chambouler tout ce petit monde et replonger Elspeth dans ses « souvenirs »….
Après l’excellent « complexe d’Eddie Bellwether » l ‘auteur pour ce deuxième roman renoue avec les thèmes du génie et de la « folie » , il aborde dans ce roman tous les tours et les détours qu’empreinte le processus créatif, il manipule le lecteur en jouant sur les codes
narratifs et en mixant la fiction et la réalité.
C’est un livre particulier et exigeant qui peut dérouter mais faites moi confiance car tout s ‘éclaire à la fin !!! -
Conseillé par Lucile V.1 septembre 2017
L'écliptique - Benjamin Wood
Dans ce second roman, Benjamin Wood nous plonge dans le monde de l'art. Plus exactement, il s'interroge : à quel point l'art impacte les esprits et les artistes.
L'histoire tourne autour du personnage de Knell, peintre londonienne. On nous raconte son ascension fulgurante, ses peintures reconnues et acclamées. On nous raconte aussi ses erreurs personnelles, ses doutes et ses incertitudes qui vont la mener à sa perte.
C'est sur l'ile de Heybeliada que Knell va trouver refuge : cette ile accueille les artistes en difficultés, à la recherche d'inspiration.
Pendant des années Knell va se reconstruire, se retrouver. Elle va peu à peu renouer avec les pinceaux et affronter son plus grand échec, celui de l’Écliptique.
Mais l'arrivée de Fullerton, adolescent de dix sept ans, puis sa disparition presque immédiate, vont ébranler ce semblant de paix retrouvée.
Évidement, ce ne serait pas un véritable roman de Benjamin Wood, sans un final qui nous laisse sans voix.Un texte fluide avec un très beau rapport à l'art et particulièrement à la peinture. L'auteur nous plonge sans problème dans son univers et nous fait vibrer au rythme de la vie de son héroïne.