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Ça raconte Sarah

Pauline Delabroy-Allard

Les Éditions de Minuit

  • Conseillé par (Librairie de l'Horloge)
    23 février 2019

    Un livre impressionnant par l'intensité : l'histoire d'amour entre deux femmes qui devient dévorant, unique, ou plus rien ne compte. Rarement l'évocation d'un amour aura été si puissamment rendue. Une deuxième partie différente sur la nostalgie et la douleur. Attention, passages assez crus !


  • Conseillé par (Librairie La Grande Ourse)
    15 décembre 2018

    Prix des étudiants France culture/Télérama

    Une femme divorcée vivant seule avec sa fille. Une rencontre inattendue : Sarah. Son caractère bien trempé, mais aussi tout l'amour qu'elle peut donner.
    Un amour fort, passionnel, maladif...


  • Conseillé par (La Chouette librairie)
    28 novembre 2018

    Coup de coeur de la chouette

    Concerto pour deux corps enflammés, allegro, furioso, mais jamais moderato, "Ça raconte Sarah" risque bien de vous entraîner dans une danse effrénée de laquelle vous ne sortirez pas indemne.


  • Conseillé par (La librairie des Halles)
    5 novembre 2018

    Premier roman brûlant autour d'un premier amour soudain, total, dévorant. Une passion qui ravage, écrit dans l'urgence avec les tripes, le corps.
    Détonnant ! On adore !


  • Conseillé par (Librairie-Papeterie Peiro-Caillaud)
    30 octobre 2018

    Uppercut littéraire

    Très grand coup de cœur pour ce premier roman magistral.
    La forme et le fond sont intimement liés...intimement oui, c'est bien l'adverbe qui convient !


  • Conseillé par (Librairie Coiffard)
    11 octobre 2018

    Conseillé par Lyonel, Agathe, Frédérique et Marie-Laure

    Ça raconte Sarah, ça raconte l’amour.
    Que nous livre la passion si ce n’est cette force, cette pulsion à revenir, sans cesse, vers l’être aimé ? Toute l’écriture de Pauline Delabroy-Allard s’inscrit dans ce mouvement incessant fait de rappels, de leitmotivs et d’obsessions. Tout ceci est vieux comme le monde - mais ce monde là nous fascinera donc toujours.
    Sur le fil du rasoir, le sensuel y côtoie le lugubre, l’amour se consume parfois de colère. Le style de Pauline Delabroy-Allard s’imprègne de classicisme, de lyrisme échevelé; pour autant, la romancière peut se relever crue, sans filtres, au plus près du vécu. Quelle beauté et quel drame que ces deux jeunes femmes là jouent devant nous, au fil de cette symphonie prodigieuse, formée, en deux grandes variations. Car la passion, c’est le mouvement éternel entre Eros et Thanatos, ces deux faces opposées qui se vampirisent sans cesse. On y entend Schubert, on rêve en Italie, on se réveille près d’un corps malade et adoré. On y lit, entre les lignes, Marguerite Duras et Hervé Guibert. Mais peu importe les références, ce texte ne vit que par lui-même comme la passion qui le traverse. Et pour, nous lecteurs, c’est le prestige absolu d’assister à la naissance d’une grande écrivaine.


  • Conseillé par (Librairie Hisler)
    11 octobre 2018

    Coup de coeur !

    Un livre fort, un premier roman poignant qui revient avec douceur et passion sur une histoire d'amour inoubliable.
    Un roman qui traite de liberté, d'assurance, d'amour comme rarement ..


  • Conseillé par (Fontaine Sèvres)
    9 octobre 2018

    Ça raconte Sarah mais pas que. Ça raconte surtout une très belle histoire d'amour, l'histoire d'une passion amoureuse même. Notre narratrice, une femme divorcée et mère d'une petite fille, rencontre Sarah lors d'une soirée du nouvel an. C'est le coup de foudre. Les deux femmes vont vivre un amour passionnel. Ce premier roman est superbe et nous ne pouvons pas le lâcher avant de l'avoir terminé. Un grand roman de cette rentrée littéraire.


  • Conseillé par (Librairie Athenaeum)
    25 septembre 2018

    La narratrice, prof de français, séparée du père de sa fille, va rencontrer Sarah, une violoniste. La surprise de l’irruption de l’amour passionnel qui enflamme, brûle et consume. L’amour, la mort, les saisons qui passent, le feu-follet Sarah, la musique, les impressions, les tourments, les joies, la peau, les souvenirs, la maladie. Un premier roman au rythme et au style qui font penser à Marguerite Duras. Une auteure pleine de promesses.
    Anne-Céline


  • Conseillé par (Nouvelle Librairie Sétoise)
    11 septembre 2018

    Qui touche au cœur

    Un livre qui touche au cœur. L'histoire d'une folle passion amoureuse . Intense et destructrice.


  • Conseillé par (Librairie Saint-Pierre)
    4 septembre 2018

    Amour

    Un style poétique, des phrases qui résonne comme un coeur qui bat , un coeur qui bat pour Sarah.

    Somptueux premier roman


  • Conseillé par (Librairie Ravy)
    3 septembre 2018

    Comment se remet-on d'une passion amoureuse dévorante? La narratrice, jeune femme en couple et mère d'une petite fille, a un véritable coup de foudre pour Sarah rencontrée lors d'un dîner. Très vite la passion prend le dessus sur tout le reste, devient omniprésente, quasi maladive. Sarah est tout son contraire, extravagante, impulsive, elle vit chaque moment pleinement sans se soucier du regard des autres : elle est vivante. Les premiers temps sont merveilleux. Sarah, violoniste dans un quatuor lui fait découvrir la musique de chambre, Bartok, Beethoven, Mendelssohn, Schubert. Mais Sarah se révèle aussi extrêmement jalouse, possessive et les crises s'enchaînent jusqu'à la rupture imposée par Sarah elle-même.
    Ce premier roman est un choc littéraire, l'écriture de Pauline Delabroy-Allard est tantôt douce voire tendre pour ensuite vous cueillir par sa violence. Elle nous fait vivre au premier rang les différentes étapes amoureuses de cette passion et les variations psychologiques de la narratrice absolument bouleversée par ce qu'elle vit. Dans la deuxième partie du roman, c'est nous qui sommes bouleversés et finalement on sait qu'on ne se remet pas d'un tel choc des sentiments. Ca raconte Sarah, ça raconte une magnifique histoire d'amour, ça raconte la vie!
    Valérie


  • Conseillé par (Librairie La Galerne)
    3 septembre 2018

    Une grande réussite, un coup de maître !

    Ça raconte Sarah est un magnifique premier roman : une passion amoureuse dévorante, tour à tour joyeuse, enivrante et furieusement douloureuse.
    Une grande réussite, un coup de maître !


  • Conseillé par (Librairie La Galerne)
    3 septembre 2018

    Une grande réussite, un coup de maître !

    Ça raconte Sarah est un magnifique premier roman : une passion amoureuse dévorante, tour à tour joyeuse, enivrante et furieusement douloureuse.
    Une grande réussite, un coup de maître !


  • Conseillé par (Librairie La Galerne)
    3 septembre 2018

    Une grande réussite, un coup de maître !

    Ça raconte Sarah est un magnifique premier roman : une passion amoureuse dévorante, tour à tour joyeuse, enivrante et furieusement douloureuse.
    Une grande réussite, un coup de maître !


  • Conseillé par (Librairie La Buissonnière)
    29 août 2018

    Passionnel

    Une passion amoureuse furieuse et indélébile d'une intensité inouïe, folle. Les méandres et les arcanes de l'amour perçues à travers le désir insensé presque intenable parce que trop fort, l'insoutenable cheminement de la possession à l'abandon, les revirements inattendus, les retrouvailles exaltées, la trop grande fatigue de ces nuits sans sommeil écourtées, la désespérance et le manque et le vide. Ce premier roman est extraordinaire de tensions et d'intensité littéraire et romanesque. Inoubliable.


  • Conseillé par (Fontaine Victor Hugo)
    8 août 2018

    Une femme raconte son amour pour Sarah, tornade débordant de vie qui balaie tout sur son passage. La passion consume entièrement la narratrice qui ne se reconnaît plus, qui n'existe plus lorsque Sarah n'est pas là. Comment continuer à vivre quand on aime autant ?
    Dans son premier roman qu'on lâche difficilement, Pauline Delabroy-Allard décrit avec beaucoup d'intensité et de justesse la passion amoureuse. La pépite de cette rentrée littéraire 2018.


  • Conseillé par (Fontaine Victor Hugo)
    11 juillet 2018

    C'est l'histoire d'une femme, la narratrice, qui tombe amoureuse de Sarah. Sarah est libre, pleine de vie, spontanée mais Sarah peut aussi se montrer sombre, brutale parfois lunatique. Où qu'elle soit, Sarah est omniprésente, elle envoute, elle obsède. Alors que faire d'un tel amour ? Et surtout, que faire sans Sarah ?
    Roman d'une passion amoureuse à l'issue incertaine,Ça raconte Sarah ne laissera, à coup sûr, personne indifférent.


  • Conseillé par
    21 novembre 2018

    Passion de deux corps, passion de deux âmes au combien passionnante !

    À ce jour, je n'ai pas fini ce livre qui m'oblige à m'abandonner de la plus belle des façons...

    Il y a dans ses lignes épurées, quelque chose qui transperce l'âme et vous laisse ébahi comme après l'amour.

    Un chavirage des sens...

    "la persistance rétinienne fait des murs lézardés de cette maison des écrans blancs pour son ombre chinoise"

    Une persistance des mots, des phrases, une alchimie des corps.


  • Conseillé par
    9 octobre 2018

    Amour

    Ça raconte Sarah – Sarah conte Sarah.

    Car qui est la narratrice ? Comment s’appelle-t’elle ? Nous ne saurons jamais son prénom. Juste qu’elle a été mariée, puis a divorcé, a une petite fille en garde alternée.

    Un soir de réveillon, elle tombe folle amoureuse de Sarah, une violoniste un peu fantasque qui croque la vie.

    Mais la narratrice, qui répète à outrance que Sarah est la vie même représenterait-elle la face sombre de la vie : la mort qui se laisse un temps fasciner par l’énergie de son amante qui croque véritablement tout ce qu’elle trouve à sa portée ?

    Je me suis posée la question en refermant ce roman qui restera énigmatique à mes yeux.

    Si j’ai aimé la première partie pleine de Sarah et de son amour pour la narratrice, j’ai eu plus de mal avec le personnage principal se retirant à Trieste pour y dépérir.

    C’est d’autant plus étonnant que la narratrice ne cesse de répéter que le tempo va très vite, con fuoco.

    Car il est beaucoup question de musique dans ces pages.

    Éléments du récit, parfois, en fin de partie, la narratrice nous explique un détail musical ou une anecdote, comme pour ancrer sa valse amoureuse dans la réalité, la rattacher à quelque élément tangible.

    Un chagrin d’amour bien inconsolable.

    L’image que je retiendrai :

    Celle de Sarah croquant dans les fruits comme dans son amante.

    https://alexmotamots.fr/ca-raconte-sarah-pauline-delabroy-allard/


  • Conseillé par
    25 septembre 2018

    Je ne connaissais pas du tout le thème de ce roman avant de l'ouvrir et les cinquante premières pages m'ont remuée. Elles sont fortes, écrites sur un rythme haletant et saccadé, comme les débuts d'une passion. J'ai reposé le roman à contre-cœur. Peut-être n'aurais-je pas dû le poser car la magie n'a plus opéré quand je l'ai ouvert à nouveau. J'ai trouvé que ça tournait en rond, comme une passion me direz-vous, qu'on ne cessait d'aller dans les hauteurs pour mieux retomber au plus bas et que finalement, vu de l'extérieur, c'était pathétique, une passion. J'ai malgré tout aimé les leitmotivs, cette répétition de "Ça raconte Sarah" et les différentes définitions du mot latence. Mais je n'ai plus du tout adhéré dans la partie italienne, que j'ai trouvée floue, folle.


  • Conseillé par
    16 septembre 2018

    A la folie

    Voici un premier roman fulgurant qui raconte l’histoire d’une passion amoureuse. Si le thème n’est pas nouveau, la jeune auteure ravive le genre par un style à couper le souffle. C’est un livre qu’on dirait écrit sur le fil, dans l’urgence de la folie et les interstices de la fusion amoureuse. C’est un roman qui parle d’amour et de mort, avec pour figures tutélaires Marguerite Duras et Annie Ernaux. Un énorme coup de cœur.

    **L’amour comme une fulgurance**

    D’abord il y a la narratrice, jeune professeure de lycée et mère célibataire à la vie rangée, morne et routinière. Un soir de réveillon, elle rencontre Sarah, violoniste : Sarah et son rire sonore, son verbe haut, sa franchise, son maquillage criard ; Sarah est trop, elle est sûre d’elle, étourdissante, « elle est vivante ». Lorsqu’elle lui déclare son amour, débute une passion folle et intense, la découverte de l’autre, les corps brûlants. Membre d’un quatuor à cordes, la musicienne transporte sa vie dans une valise : pas facile de s’aimer entre deux avions, entre deux trains, entre deux absences ; l’attente est insupportable, les retrouvailles incandescentes. Puis, comme dans toute passion, il y a la souffrance et la violence ; la vie avec Sarah est épuisante, la vie sans elle impossible.

    Lire la suite de la critique sur le site o n l a l u


  • Conseillé par (Librairie Mots et Images)
    13 septembre 2018

    Coup de coeur Aude

    ça raconte Sarah.
    ça raconte elles.
    ça raconte l'amour.
    L'amour dans ce qu'il a de plus virevoltant, passionnel et haletant.
    L'amour, sous la merveilleuse plume de l'auteur, ça donne des frissons, ça fascine. ça rend gai ça rend triste. ça grandit, ça transporte.
    Une belle histoire qu'accompagne une belle écriture!

    Aude