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Conseillé par Collectif des lecteurs masqués (Librairie-Papeterie Peiro-Caillaud)15 mars 2019
L' Italie du Sud, les scooters pétaradants,le soleil, le dialecte, la misère, la violence:le monde de Rosa Ventrella n'est pas très éloigné de celui d'Eléna Ferrante, ni de celui de Silvia Avallone....
Un joli style fluide, limpide pour un premier roman trés séduisant. -
Conseillé par Véronique T. (Fontaine Passy)24 février 2019
Rosa Ventrella nous emmène au début des années 80 dans un quartier de Bari semblable aux années 20. Marie y vit avec ses parents. Son père, pêcheur, est violent et colérique. Sa mère est soumise et douce avec ses enfants. Ses frères sont très différents, l'un intelligent et gentil, l'autre petit voyou de quartier. Brillante, intelligente, Maria va refuser l'avenir triste qui l'attend dans ce quartier misérable. Remarquée par ses professeurs, elle sera la seule élève d'un quartier pauvre à accéder à un collège privé.
Un roman émouvant, une héroïne attachante, mais aussi un hymne à la liberté des femmes qui cherchent à fuir la tradition des vieilles familles italiennes. -
Conseillé par Librairie Gibier . (Librairie Gibier)24 janvier 2019
Conseillé par Fabienne, libraire
Roman d'apprentissage et de jeunesse. On est plongé dans la vie fourmillante de Bari, un quartier pauvre où le courage et la volonté sont essentiels pour s'en sortir. Formidable !
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Conseillé par Caroline C.9 juin 2019
Familles italiennes.....
Il y a un petit air d’Elena Ferrante derrière ce roman de Rosa Ventrella.
Bari et non Naples, les années 80, au lieu des années 50… mais pour le reste, nous sommes dans le même contexte, une famille pauvre, un père autoritaire, une petite fille brillante, dont le caractère est bien affirmé, des frères et une famille ennemie.Ici, en revanche, pas de grande histoire d’amitié, mais un grand amour entre Maria et Michele, dernier fils de cette fameuse famille, que tout le monde déteste mais en même temps fascine, par son pouvoir et sa violence.
Revanche sociale, drames familiaux… tous les ingrédients sont réunis pour que ce roman soit le premier d’une saga, car la fin très « ouverte » laisse imaginer avec impatience, une suite.