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  • Conseillé par (Les Petits mots)
    13 mai 2022

    Embarquez en direction de Palerme avec les Florio, de modestes marchands d'épices qui aspirent à côtoyer les cieux de la haute société.
    Parcourez l'Italie du XVIIIème siècle jusqu'au début du XXème, découvrez une fresque familliale remplie de secrets, de drames, de réussites et d'histoires d'amour.

    Stefania Auci nous livre ici un récit hors norme, avec ses personnages historiques à l'ambition dévorante et à l'obstination sans faille.

    Une véritable invitation au voyage à travers cette riche saga familiale.

    Fabien


  • Conseillé par (Librairie La Galerne)
    26 mai 2021

    Un grand plaisir de lecture

    Grande saga romanesque autour de la dynastie commerciale et industrielle des Florio, Les lions de Sicile a son lot de secrets, de tragédies et d’humanité. On s’attache très vite à cette famille sicilienne, l’histoire est captivante dès les premières pages. Une vraie réussite et un grand plaisir de lecture !


  • Conseillé par (L'Autre Monde)
    8 mai 2021

    Dans la lignée des grandes fresques

    Voici l'histoire d'une famille de commerçants qui devient à force de courage et de travail, une des plus grandes familles siciliennes.
    Une saga romanesque qui vous plonge au 19e siècle en Italie du Sud. Entre décors, odeurs et saveurs... vous y êtes.
    Partez en voyage !

    Isabelle


  • Conseillé par (Fontaine Auteuil)
    4 mai 2021

    Un premier volume d'une saga italienne très prometteuse qui retrace l'histoire d'une modeste famille sicilienne en quête d'émancipation.
    Foisonnante, incarnée, vivante vous ne résisterez pas à la destinée de ces personnages hautement romanesques.
    Plaisir de lecture garanti et empathie sincère pour ces héros de la littérature qui n'ont rien à envier à leurs contemporains.
    A découvrir!


  • Conseillé par
    5 août 2021

    Sicile

    C’est suite à un coup de coeur de ma librairie préférée sur FB, et parce que pendant les vacances, je lis des pavés, que j’ai lu ce premier tome de la saga des Florio.

    J’ai aimé que l’auteure restitue le contexte politique à chaque début de chapitre (parce que je ne connaissais rien de l’histoire mouvementée de la Sicile).

    J’ai aimé sentir au fil des pages l’atmosphère froide de la ville en hiver, les odeurs du port.

    J’ai été choquée par l’attitude des nobles désargentés de l’île qui ne veulent pas se compromettre avec les bourgeois, sans avoir eux-même de quoi manger.

    En revanche, le fils au caractère bien trempé m’a agacé par son attitude corseté, sa soif de revanche par l’argent.

    J’ai préféré son propre fils, élevé avec l’argent de son père, et qui acquière les codes de la noblesse.

    Evidemment, la place des femmes se situe à la marge, obligée de se marier et de se taire.

    J’ai été un peu agacée des flash-forward : plus tard, il se passera ça. Pourquoi le dévoiler déjà ?!

    Un premier volet intéressant mais peut-être un peu trop rapide à mon goût : les situations s’enchainent au gré des investissements du père.

    L’image que je retiendrai :

    Tout commence avec le commerce du quinquina, une plante aux vertus multiples.