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  • Conseillé par (La Touquettoise)
    15 mars 2021

    A lire absolument !

    Dans ce polar, Nicolas Lebel frappe très fort, avec un rythme effréné, une intrigue palpitante, des personnages extrêmement convaincants
    et une enquête qui vous fera vous poser mille questions, ce savant mélange donne un polar détonnant !

    Il faudra que vous soyez attentif à tous les détails, à toutes les informations pour pouvoir vous fondre totalement dans cette enquête.
    Vous vous plongerez dans une partie de chasse monumentale, où les réponses aux questions se forment petit à petit, mais finalement était-ce la bonne piste à suivre ?

    Mais la vraie question n'est-elle pas :
    Qui est réellement le gibier et qui sont les chasseurs ?


  • Conseillé par
    15 octobre 2021

    policier

    Chic, un nouveau roman de Monsieur LEBEL. Bon, sans Mehrlicht, mais je prends quand même.

    Et je n’ai pas été déçue : en plein Paris, une chasse à coure, un complot grandeur nature visant à tuer des personnes gênantes, en toute discrétion.

    J’ai aimé le chef de groupe Starski (avec un i), dont le chien vient de mourir ; sa co-équipière Chen dépourvue d’émotion.

    Et Chloé de Talense qui fait irruption dans la vie de Paul Straski, une ancienne amoureuse dont Paul est toujours épris malgré son mariage et ses deux filles.

    Les deux premiers meurtres dans le même appartement sont bien mystérieux, et l’explication logique bien trop simple.

    J’ai aimé les méandres de l’enquête, ou plutôt des enquêtes, le fait que l’amour, voire l’obsession de Paul pour Chloé soit un vrai frein.

    J’ai découverte toutes les étapes d’une chasse à coure, et il y en a beaucoup. C’est un sport assez cadré, finalement.

    J’ai aimé l’humour du roman, notamment Starski qui n’arrive pas à dire Madame la juge.

    J’ai découvert les furies, déesses de la vengeance.

    J’ai eu de la peine pour Cavicci, le flic remercié, qui a raison contre tout le monde.

    Encore une fois, l’auteur m’a régalé avec une histoire cousue au plus près du suspens et du rebondissement, tout en restant parfaitement crédible.

    L’image que je retiendrai :

    Celle du personnage énigmatique toujours habillé d’un costume gris clair avec une cravate ouge se tortillant sur sa chemise blanche, comme un serpent.