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La fille qu'on appelle

Tanguy Viel

Les Éditions de Minuit

  • Conseillé par (Librairie La Rose des Vents)
    13 novembre 2021

    La fille qu'on appelle

    Laura, 20 ans, est prise dans un engrenage qui va la laisser K.O. .

    Au commissariat, elle relate de manière pure, naïve et détachée, ce qui l'a amenée à porter plainte. Dans ce nouveau roman, pouvoir et emprise se tiennent la main, formant un poing et venant heurter une jeune fille sans défense.

    On retrouve l'atmosphère de "l'article 353 du code pénal". Tanguy Viel a l'art et la manière de nous emmener là où il veut en tournant autour du pot, et c'est tellement savoureux !

    Coup de coeur Laurence.


  • Conseillé par (Librairie Athenaeum)
    25 octobre 2021

    Conseillé par Anne-Céline

    Une ville de Bretagne, un ancien boxeur devenu le chauffeur du maire, un propriétaire de casino et une jeune femme, voilà pour les protagonistes. Quelque part entre l’atmosphère d’un Simenon et d’un film de Chabrol, Tanguy Viel développe son roman à l’écriture virtuose. Les personnages sont admirablement décrits dans leurs allures et leurs psychologies. Un grand roman sur la virilité et la féminité tout en tension et suspense. Tout ce petit monde a des comptes à régler entre abus de pouvoir et trahisons passées. Une comédie humaine remarquable qu’on ne lache pas! ♥️♥️♥️ Anne-Céline


  • Conseillé par (Librairie l'Esperluète)
    20 octobre 2021

    Pas une histoire classique

    Un père veut aider sa fille, parce qu'il a un peu de relations. Son patron précisément, dont il est le chauffeur, et à qui il doit son emploi. La fille est jolie, le patron se permet tout, il a l'habitude de se servir, il est le maire. Le père est aveugle, il aime sa fille et admire son patron. Il est clair que ça va mal se passer, d'autant que c'est la fille qui raconte, à la police, et aussi parce que le père est boxeur quand il n'est pas chauffeur. Ce serait une histoire classique si ce n'était le style de Tanguy Viel qui, d'une histoire triste, fait que c'est beau.


  • Conseillé par (Mémoire 7)
    11 octobre 2021

    Fable sociale absolument irrésistible... Tanguy Viel à son meilleur !


  • Conseillé par (Librairie M'Lire)
    7 octobre 2021

    Écrit dans une langue virtuose, un roman âpre sur la manipulation, dans une Bretagne chère à l'auteur;

    Thomas


  • Conseillé par (Librairie Page et Plume)
    1 octobre 2021

    C'est le combat d'un père pour rendre justice à sa fille, un face à face avec un homme de pouvoir en qui il avait confiance et à qui il a donné ce qu'il a de plus cher, un combat perdu d'avance ? ...
    #metoo malheureusement toujours d'actualité, et c'est encore pire quand l'ennemi est haut placé et qu'il a tous les moyens à sa disposition pour se disculper et étouffer l'affaire. Et comme il ne faut surtout pas salir l'image du parti, alors tous les coups sont permis, menaces, dessous de table, corruption, abus de pouvoir ...
    Les mensonges (qui suintent des discours disculpants écrits par des conseillers passés maîtres dans cet art) distillés dans la presse et devant les caméras avec moultes simagrées pour se victimiser.
    Et pendant ce temps, la véritable victime est salie, souillée, rabaissée, niée, piétinée, déshumanisée.
    Nous sommes en 2021, comment les acteurs de ce livre en sont arrivés là et qui va-t-on croire ? La victime qui n'a que sa parole ou le coupable et sa débauche de moyens ?


  • Conseillé par (Librairie Clareton des Sources)
    22 septembre 2021

    Max, ancien boxeur pro, est le chauffeur du maire de la ville. Sa fille, Laura, à la plastique irréprochable, revient vivre chez lui. Pour trouver un logement, Max demande une faveur à l'édile, et là tout bascule.
    Un roman à l'écriture vive et incisive mettant en scène le cynisme de notre société et des hommes politiques.

    Conseillé par Thierry


  • Conseillé par (Librairie Calligrammes)
    21 septembre 2021

    C'est avec le talent qu'on lui connaît que Tanguy Viel zoome sur la question du consentement, de la domination sociale et les rapports de pouvoir. Tout l'art subtil de s'emparer d'un banal fait diverspour bâtir un roman de mœurs d'une rare densité narrative. Une fois de plus, la justesse de son écriture a fait mouche !


  • Conseillé par (Les Grands chemins)
    21 septembre 2021

    Un roman intelligent, sans concession, construit comme un polar.

    Tanguy VIEL déroule une analyse corrosive de l'emprise, des travers de la société, où le pouvoir et l'argent règnent en maîtres.


  • Conseillé par (Librairie Charlemagne Toulon)
    21 septembre 2021

    INCONTOURNABLE roman de cette rentrée littéraire. Tanguy VIEL frappe fort et juste. Le grand roman de l'automne !! Guillaume, libraire Charlemagne TOULON


  • Conseillé par (Librairie Charlemagne Toulon)
    21 septembre 2021

    INCONTOURNABLE roman de cette rentrée littéraire. Tanguy VIEL frappe fort et juste. Le grand roman de l'Automne !!

    Guillaume, libraire Charlemagne TOULON


  • Conseillé par (Librairies de Port Maria)
    14 septembre 2021

    Au cœur d’une ville bretonne en bord de mer, on assiste à un combat de boxe. Mais les personnages divers et variés sont nombreux à monter sur le ring.

    Entre eux vont se révéler les tensions qui gangrènent notre société : Harcèlement , emprise et attrait du pouvoir…

    Sombre, court et brillant !


  • Conseillé par (La Droguerie)
    10 septembre 2021

    C’est toujours une immense joie de pouvoir lire un nouveau roman de Tanguy Viel. Et « La fille qu’on appelle », qui sort aujourd’hui chez Les Éditions de Minuit, n’a pas déçu nos attentes, bien au contraire ! Une fois de plus, l’auteur signe un grand livre sur les rapports humains, avec comme toile de fond l’emprise et la politique (et aussi une ville bretonne qui pourrait bien être…? 😉)


  • Conseillé par (Librairie La Grande Ourse)
    9 septembre 2021

    Un grand roman

    Une écriture tout simplement magnifique ! Ce livre est un petit bijou. Tanguy Viel aborde cette fois le thème de la domination sociale. Laura et son père Max, ancien boxeur devenu le chauffeur du maire d'une petite ville bretonne, sont pris au piège. La construction est implacable, le regard porté sur notre société est glaçant. Pourtant, on chemine aux côtés de Max et Laura, sans jamais leur lâcher la main, qui restent droits malgré tout.

    Vanessa


  • Conseillé par (Librairie La Galerne)
    7 septembre 2021

    Le nouveau roman de Tanguy Viel est toujours aussi implacable et sans illusion sur notre société actuelle avec son inimitable distance et son immense talent. Tanguy Viel nous offre un des meilleurs romans de cette rentrée !


  • Conseillé par (Librairie de l'Horloge)
    4 septembre 2021

    Du grand art !

    Un gros coup de coeur de cette rentrée ! Utilisant à merveille les codes du roman noir, T. Viel en donne une ampleur véritable par l'analyse des ressorts psychologiques et la maîtrise de la tension dramatique. Du grand art !


  • Conseillé par (Les Saisons)
    4 septembre 2021

    Tanguy Viel signe un roman poétique et social qui questionne encore et encore les dérives du pouvoir masculin.
    Un étude de mœurs finement menée et toujours d'actualité.


  • Conseillé par (Nouvelle Librairie Sétoise)
    3 septembre 2021

    Excellent !

    Un roman aux allures de polar noir, une intrigue menée de main de maître, qui met au jour les jeux de duperie, les abus de pouvoir et les mécanisme d'emprise... Juste excellent !


  • Conseillé par (Fontaine Passy)
    24 août 2021

    Pour venir en aide à sa fille Laura, revenue vivre avec lui après de langues années d'absence, Max, boxeur à ses heures perdues mais surtout chauffeur du Maire, ose demander à son employeur un service. Peut-il aider sa fille à trouver un logement plus rapidement ? Laura est très belle jeune femme, peu farouche, revenue du monde du mannequinat, une jeune femme douce une peu perdue, un peu fataliste. Pour le Maire la tentation est grande. Dans ces petites villes où règnent les petits pouvoirs des potentats locaux, où on s'arrange rapidement avec la morale, le pas est vite franchi et c'est sans état d'âme que cet homme d'âge mur, troque la promesse d'un logement contre de courts moments agréables. Tanguy Viel nous offre ici un excellent roman sur un sujet certes à la mode le consentement mais c'est avec brio qu'il décortique tous les ressorts psychologiques et sociologiques de cette affaire. Un roman noir, poisseux qui nous vous lâche pas.


  • Conseillé par (Librairie Coiffard)
    24 août 2021

    Conseillé par Chloé, Stéphanie et Rémy

    Une jeune femme vient porter plainte dans un commissariat. C'est ce récit, retranscrit en temps réel par deux policiers, qui permet de dévoiler, avec une grande intelligence narrative, l'histoire d'une fille et de son père.
    Max est une ancienne star de la boxe qui gagne sa vie comme chauffeur du maire de la ville, Quentin. Laura, la fille de Max peinant à trouver un appartement, Max finit par solliciter l'aide du maire. Seulement il l'ignore encore mais ce coup de pouce sera un piège pour la jeune fille. Laura est jeune et jolie, pourquoi le maire n'en profiterait-il pas...?
    Tanguy Viel ose traiter d'une actualité brûlante et complexe : comment se faire entendre lorsque l'on est une jeune femme qui accuse un puissant ?
    Avec un style sobre et d'une justesse folle, "La Fille qu'on appelle" est un roman qu'on ne veut et qu'on ne peut plus lâcher.

    rr


  • Conseillé par (L'Autre Monde)
    21 août 2021

    Sur le ring comme dans la vie

    Une histoire comme un engrenage dans laquelle se déroulent la tragédie, la lutte d’un boxeur sur le ring.
    Sur fond de harcèlement, on suit le récit de Laura. Une enquête bien menée au style précis, tranché qui nous plonge en apnée pour mieux nous sortir la tête de l’eau.
    Un sujet très actuel qui vous tiendra en haleine !

    Isabelle


  • Conseillé par (Librairie La Buissonnière)
    16 août 2021

    Impunités et silences

    Tanguy Viel dissèque avec aisance le mécanisme de l'exercice du pouvoir, les abus qui peuvent en découler et l'impunité fascinante et écrasante clôturant des relations déjà gâtées et compromises. Ce roman brillant met en avant un système de corruption bien enclenché où les crapules exercent leurs petits trafics ouvertement sans être jamais inquiétées, couvertes par la municipalité. Avide de gloire et de notoriété, fort de sa suffisance et de son autorité masculine, le maire de la localité mû par une fausse générosité révèlera progressivement de troublantes ambiguïtés sans jamais se départir de son rôle vertueux au service des administrés. La voracité du pouvoir est splendidement décortiquée entraînant une situation d'injustice et un désir de vengeance tout aussi insatiable.


  • Conseillé par (Librairie La Promesse de l'aube)
    3 août 2021

    Coup de coeur de Laëtitia

    Dans ce court récit, Tanguy Viel arrive à faire ressortir tous les travers d'une société fondée sur le pouvoir et l'argent. Dans cette petite ville de province comme on en connait tous, chacun cherche sa petite gloire et les personnages se croisent au fil d'un récit empreint de cynisme, qui ne manque pas d'humour. Tantôt émouvante et tantôt drôle, une tranche de vie au ton juste.
    Librairie La Promesse de l'Aube


  • Conseillé par
    9 décembre 2021

    Avec ce titre un peu mystérieux, en fait, traduction littérale de call-girl, Tanguy Viel écrit un roman formidable en écho et en accompagnement aux divers mouvements de ces dernières années de femmes osant porter plainte ou dénonçant leur agresseur. L'histoire de Laura est malheureusement et honteusement banale, celle d'une jeune femme qui va devoir accepter les avances sexuelles d'un édile contre un hypothétique logement et un encore davantage hypothétique travail.

    Le roman s'ouvre sur la jeune femme qui raconte son histoire à des policiers : on imagine qu'elle porte plainte ou qu'il s'est passé un événement qui l'a amenée à être entendue par la police. Et Laura raconte les faits, la succession des mots, des avances qui n'en sont pas vraiment tout en ne pouvant y échapper et qui mènent vers l'inéluctable. Ses descriptions sont entrecoupées par ses réflexions, son sentiment de culpabilité parce qu'elle n'a pas su ou pu refuser ou repousser le maire ; elle est prise au piège, ne peut s'en défaire sûre de s'y être elle-même mise et n'ayant jamais su ou pu saisir l'occasion de fuir. C'est remarquablement construit, de sorte qu'on sait comment Laura s'est retrouvée enfermée et qu'on comprend qu'elle n'ait pas pu sortir. "Ils se sont regardés à nouveau, les deux policiers, se demandant de plus en plus à qui ils avaient affaire, à force de cette manière un peu digressive, un peu désaffectée aussi, qu'elle avait de raconter son histoire, comme si elle ne lui appartenait pas vraiment, comme si elle se regardait elle-même la raconter sans qu'à aucun moment, non, elle n'ait cherché à les prendre par les sentiments -sa manière à elle, finiraient-ils par comprendre d'y parvenir." (p.74)

    Comme souvent dans les livres de Tanguy Viel, c'est un monologue intérieur, une lutte des petits contre les puissants et de profondes réflexions du personnage principal, formidablement mis en mots dans des phrases longues, ponctuées, virgulées, parfois tortueuses mais tellement belles et toujours compréhensibles. On est vraiment dans l'idée que je me fais de la belle littérature. Ouvrir un livre de Tanguy Viel, c'est comme revoir un ami qu'on n'a pas vu depuis longtemps : on retrouve tout ce qu'on aime chez lui et l'on reprend la conversation là où l'on l'avait stoppée sans incompréhension,. J'aime ce sentiment de me retrouver, dans les mots d'un écrivain -ça me le fait aussi avec Jean Echenoz-, en toute simplicité comme si nous étions à discuter autour d'un verre ou d'un repas, un truc qui fait du bien même si le sujet n'incite pas à la rigolade, parce qu'entre amis, on peut aussi parler de sujets lourds.


  • Conseillé par
    9 novembre 2021

    Le titre est la traduction de Call-Girl : la fille qu’on appelle, même si j’ai trouvé de prime abord le titre étrange : pour moi, cette phrase n’était pas finie. Comment on l’appelle, cette fille : Dakota ? Winnie ?….

    Pas du tout, elle s’appelle Laura, a un père ancien boxeur devenu chauffeur du maire. Dans sa jeunesse, elle a posé pour des photos de sous-vêtements et des photos de charme.

    Revenue dans sa ville, elle cherche un logement et via son père se tourne vers Monsieur le Maire. Qui va en profiter.

    Nous suivons le récit de Laura lors de sa déposition aux policiers.

    L’histoire du père boxeur m’a moins touchée.

    Un récit qui m’a rendu triste en le refermant : combien de jeunes filles sont victimes de ce genre de prédateur et voient leur plainte classée sans suite ?

    Mais encore une fois j’ai aimé le style de l’auteur dont les longues phrases m’emportent à chaque fois.

    Quelques citations :

    quelque chose en lui avait besoin de quitter la chambre avec le sentiment qu’il n’y était pour rien, que ce n’était pas lui, mais bien elle qui avait agi, que son corps à lui avait seulement cédé mais jamais rien de sa volonté propre, que, oui, c’est par surprise qu’il s’était retrouvé avec sa main à elle sur son sexe.

    chacun ferait pencher la balance du côté de force de la nature, c’est-à-dire le fardeau du désir des hommes impossibles à rassasier, et la mesquinerie des femmes.

    L’image que je retiendrai :

    Celle du flux et du reflux de la mer qui lèche les pieds de la cité.


  • Conseillé par
    22 septembre 2021

    Max La Corre, ancien champion de boxe est chauffeur du maire d'une ville de Bretagne.
    Quand sa fille Laura revient vivre près de lui, il demande au maire de l'aider à trouver un logement.
    C'est le début d'un engrenage.
    L'auteur nous rend spectateurs d'une histoire d'emprise et nous assistons, hypnotisés, à la déclaration que fait Laura à la police, aux arrangements de gens influents, à la manipulation.
    Le procédé est un peu le même que dans « Article 353 du code pénal »
    Laura, comme Martial, font une déposition.
    Le sujet est d'actualité bien que datant de la nuit des temps : un personnage abusé, domination/soumission.
    C'est un livre noir à l'ambiance pesante.
    J'ai eu un peu de mal à entrer dedans.
    Longueurs des phrases pas toujours claires et nécessitant une relecture.
    Tout en admirant cette belle écriture et ces tournures de phrases, elles m'ont étouffée, presque asphyxiée (bon, d'accord, j'exagère un peu).


  • Conseillé par
    21 septembre 2021

    Un roman intelligent, sans concession, construit comme un polar.

    Tanguy VIEL déroule une analyse corrosive de l'emprise, des travers de la société, où le pouvoir et l'argent règnent en maîtres.


  • Conseillé par
    8 septembre 2021

    Sur le ring du pouvoir

    Laura, 20 ans, revient chez son père Max Le Corre, glorieux boxer sur le retour, devenu chauffeur du maire de la ville. Max sollicite le maire pour aider sa fille à se loger.
    Laura confesse en un dense monologue la façon dont cette aide a évolué pernicieusement.

    Tanguy Viel reconstitue méticuleusement l’atmosphère sordide de la situation d’emprise sociale et de harcèlement. L’engrenage est inéluctable et double car les dégâts chez le père et la fille sont apparentés face à la mécanique du pouvoir.

    La narration est corrosive suggérant l’ambiguïté des faits par les limites du consentement pouvant transformer la victime en coupable….
    La fin est sidérante presque désuète ; de moins en moins d’actualité heureusement !


  • Conseillé par
    7 septembre 2021

    Le nouveau roman de Tanguy Viel est toujours aussi implacable et sans illusion sur notre société actuelle avec son inimitable distance et son immense talent. Tanguy Viel nous offre un des meilleurs romans de cette rentrée !


  • 23 août 2021

    Un roman à déguster sans restriction

    Dès le début du roman, on rentre dans le vif du sujet : nous sommes dans une petite ville de bord de mer, très certainement en Bretagne, où vivent des personnages semblant fixés par leur destin. Laura, d’abord, 20 ans de retour au pays chez son père, Max Le Corre, ancien boxeur et actuellement chauffeur du maire, Quentin Le Bars. Mais aussi Bellec, ami du maire et dirigeant du casino. Dans un engrenage haletant, vif et entraînant, va se dérouler un drame dans lequel Laura se trouvera prise dans une toile bien tissée. Les descriptions de la banalisation du harcèlement sexuel et de l’emprise des hommes de pouvoir sont remarquablement décrites.
    Un roman à déguster sans restriction.