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La Maison dorée

Jessie Burton

Gallimard

  • Conseillé par (Librairie La Grande Ourse)
    5 juillet 2023

    Les miniatures vont réapparaître....

    18 ans après "Miniaturiste", Jessie Burton nous livre une suite tout aussi passionnante.
    Nous sommes en 1705 à Amsterdam. Nella veut marier sa nièce Théa à un beau parti afin de sauver la famille de sa situation financière. Mais, la jeune fille est amoureuse d'un peintre. Les miniatures vont réapparaître. Donneront-elles une solution ?
    Roman prenant, servi par une belle écriture.
    On ne le lâche pas !

    Marie


  • Conseillé par (Librairie La Galerne)
    30 juin 2023

    Grand coup de cœur !

    On retrouve dans "La maison dorée" les personnages de Miniaturiste et Théa, l’héroïne née 18 ans plus tôt. Une suite certes, mais qui se lit totalement indépendamment.
    Toujours aussi tragique, mystérieux et romanesque.
    Grand coup de cœur !


  • Conseillé par (Librairie La Mandragore)
    24 juin 2023

    "La maison dorée" est la suite de l'excellent roman "Miniaturiste" (on peut le lire séparément mais c'est vraiment dommage).
    Thea , 18 ans, rêve d'amour et l'a trouvé. Sauf que la raison, la situation financière de sa famille et la peur la rattrapent. Elle reçoit en effet de mystérieux paquets de la part d'une miniaturiste...
    Jessie Burton est décidément très douée car on prend autant de plaisir à suivre Thea qu'on en a pris à découvrir Nella il y a quelques années. Ce livre est parfait pour celles et ceux qui ont aimé "La jeune fille à la perle".

    Laëtitia


  • Conseillé par (Librairie Coiffard)
    13 juin 2023

    Conseillé par Manon R

    Nous sommes au début du 18ème siècle, à Amsterdam.

    Aujourd'hui, Théa fête ses 18 ans. Elle vit dans une belle maison avec son père, sa tante Nella, et Cornelia. Comme à chacun de ses anniversaires, tous se préparent à s'installer sur le tapis pour prendre le petit-déjeuner tels des aventuriers. Mais cette année Théa ne veut pas d'un anniversaire comme celui-là, elle n'est plus une petite fille. Elle préfère passer son temps au théâtre, regarder son amie Rebecca jouer sur scène, et surtout rejoindre en secret Walter, qui peint les décor du théâtre. Ils vivent un amour enflammé, l'amour véritable selon Théa. Mais le jour où elle reçoit une mystérieuse figurine miniature, ce sont tous les secrets de sa famille qui vont refaire surface.

    Avec « La Maison dorée », Jessie Burton fait naître une héroïne audacieuse. Une jeune femme animée par une soif de liberté. L'autrice nous emporte au cœur des relations complexes et touchantes entre chaque membre de cette famille. Un roman à l'ambiance d'époque qui tient en tension jusqu'à la fin, entre secrets, amour et mystère.

    Même si « La Maison dorée » se déroule 18 ans après « Miniaturiste », elle peut à la fois se lire comme une suite ou de façon indépendante.


  • Conseillé par (Librairie Ravy)
    2 juin 2023

    Amsterdam, 1705. Les espoirs de la famille Brandt reposent sur les épaules de Théa. Par un beau mariage elle pourrait sauver sa famille d'une ruine totale. Mais Théa rêve d'amour. Doit-elle sacrifier sa jeunesse, sa fougue, son envie de liberté à sa famille? Jessie Burton a un talent fou pour raconter des destins hors du commun. Enorme coup de cœur!
    Valérie


  • Conseillé par (Fontaine Villiers)
    20 mai 2023

    Un nouveau roman de Jessie Burton est toujours une excellente nouvelle, d’autant plus lorsqu’il s’agit de la suite du très remarqué Miniaturiste, paru en France en 2015.
    En 1705, dix-huit ans après la disparition de Johannes et Marin, nous retrouvons les Brandt dans leur maison bourgeoise des quais d’Amsterdam : Thea, la fille métisse d’Otto et Marin, Nella, la sœur de Johannes restée pour élever Thea, Otto et enfin Cornelia, la servante de toujours.
    Thea a 18 ans, rêve de théâtre et de voyages mais la situation financière de sa famille la dirige plutôt vers un mariage arrangé avec un riche avocat.
    On entre dans ce livre comme dans un tableau : la palette est sombre pour décrire la société amstellodamoise de l’époque, extrêmement hostile, codifiée, où chacun s’épie. L’œuvre, pleine de mystère, trouve du relief dans les personnages qui l’habitent et dans les sujets qu’elle aborde, avec, au cœur de ceux-ci, la condition féminine, la difficulté à s’émanciper lorsqu’on est une femme et, qui plus est, métisse.
    Notons enfin qu’il n’est pas nécessaire d’avoir lu Miniaturiste pour entamer la lecture de La Maison dorée.


  • Conseillé par (Fontaine Haussmann)
    15 mai 2023

    Le retour

    Enfin la suite de Miniaturiste!
    Amsterdam, 1705, de retour dans la maison des Brandt avec Nella qui élève sa nièce âgée de 18 ans maintenant. Jeune fille métisse, amoureuse d'un décorateur de théâtre, Théa rêve de liberté. Mais Nella souhaite organiser un mariage qui sauvera les finances de la famille. Rapidement des lettres de chantage ainsi que des figurines miniatures adressées à Théa vont tout bouleverser.
    Un vrai plaisir de se replonger dans l'atmosphère des romans de Jessie Burton !! Pas besoin d'avoir lu Miniaturiste pour apprécier ce roman, mais vous aurez sans nul doute envie de le lire !!


  • Conseillé par (Librairie Hisler)
    6 mai 2023

    A LIRE!!!

    A 18 ans, Thea rêve de théâtre, de liberté et surtout du grand amour aux bras de Walter, accessoiriste. Mais Nella, sa tante, rêve que Thea fasse un bon mariage pour redorer l'image et les caisses de la famille Brandt mais c'est sans compter sur le retour de la miniaturiste.
    Jessie Burton nous emmène dans Amsterdam du XVIIIe aux côtés de son héroïne dans une écriture vive et pleine de rebondissements.


  • Conseillé par (Librairie Page et Plume)
    6 avril 2023

    18 ans plus tard ...

    Le premier roman de Jessie Burton, Miniaturiste, avait emporté l'enthousiasme des lecteurs en 2015. La surprise de pouvoir en lire la suite fut immense et les attentes qui en découlèrent tout autant ! Repartons donc à Amsterdam au XVIIe siècle !

    Après un détour par deux romans situés dans une époque plus contemporaine (Les Filles au lion et Les Secrets de ma mère), Jessie Burton renoue avec le roman historique en poursuivant les aventures de Nella Oortman. On la découvrait jeune fille modeste, mariée à Johannes Brandt, un riche marchand d'Amsterdam. Une série de secrets, de drames et un mystère autour d'une maison de poupées (conçue par une étrange miniaturiste et offerte à Nella par son époux) nous avaient emportés, émus. Lorsque La Maison dorée s'ouvre, dix-huit années ont passé. Théa, la nièce de Nella, née des amours secrètes de Marin (la sœur de Johannes, morte en couches) et d'Otto (son secrétaire noir), fête son anniversaire. C'est devenue une magnifique jeune femme. Malgré la protection et l'amour qu'elle reçoit de sa tante, son oncle et Cornelia, la domestique, elle ressent un vide en elle. Celui de son histoire. Il lui manque des pièces pour reconstituer le puzzle de son passé, de sa conception. Sa famille lui a caché tout un pan de son histoire pour la protéger, notamment des commérages de la ville, des réputations qui se font, se défont et dont ont été victimes Nella et Otto. Mais Théa est une jeune femme pleine de vie, de vigueur et la fréquentation des théâtres a fait germer en elle une conception et un appétit pour l'amour, le véritable amour, qui lui causeront bien des soucis. Dans cette riche maison amstellodamoise, les coffres renferment encore bien des secrets, les esprits s'échauffent à mesure que les biens sont vendus pour pouvoir entretenir une demeure où l'argent ne rentre plus et les rêves se heurtent sur les murs des prisons que l'on se construit, aveuglés par des lumières aussi illusoires qu'éphémères et dangereuses.

    La miniaturiste n'en aurait-elle pas fini avec les membres de la maison dorée ?
    À vous de le découvrir !

    Aurélie (dans Page des libraires)


  • Conseillé par
    7 juillet 2023

    Amsterdam

    De retour à Amsterdam 18 ans après la mort du mari de Nella dans Miniaturiste.

    J’ai aimé retrouver ce personnage qui tente de toutes ses forces de maintenir les apparences amstellodamoises malgré le manque d’argent de plus en plus criant.

    J’ai aimé suivre sa nièce Théa dans son aventure amoureuse secrète.

    J’ai aimé les rares objets que la miniaturiste dépose pour Théa cette fois-ci.

    J’ai adoré le Bal des faux-culs du quartier doré.

    J’ai aimé le botaniste et son rêve fou d’ananas aux Pays-Bas. Et je me suis souvenue, devant le jardin de la mère de Nella qu’aux Pays-Bas poussent des plantes incongrus dans ce pays du nord grâce à son climat océanique.

    J’ai découvert la liste de Smit, l’ancêtre de notre bottin pour la ville d’Amsterdam.

    J’ai aimé l’ouverture du roman sur l’anniversaire de Théa : le déjeuner sur le tapis, les oeufs crémeux, les puffets à l’eau de rose.

    J’ai adoré le chat Lucas qui mange à tous les râteliers.

    L’auteure semble avoir une passion pour les épinettes : il y en a partout (dans les maison, dans les tableaux).

    J’ai aimé cette idée de nouveau départ, un des leitmotiv du roman.

    L’image que je retiendrai :

    Celle de la confiture d’ananas que propose le botaniste : je ne suis pas certaine que j’aimerais.


  • Conseillé par (Librairie Espace-Temps)
    29 avril 2023

    Une vie en Hollande en 1700

    Thea est une jeune fille de 18 ans qui vit en 1700 à Amsterdam, avec son père noir et sa tante. Elle est tombée amoureuse d'un décorateur de théâtre alors que sa tante veut la marier avec un riche investisseur.
    On retrouve l'énigmatique miniaturiste qui dépose des miniatures très ressemblantes à des êtres ou des objets de l'entourage de Thea.
    Roman très prenant, avec des rebondissements et une écriture alerte, qui peut se lire sans avoir lu " Miniaturiste ".