- EAN13
- 9782402474290
- Éditeur
- FeniXX réédition numérique (Ouest France)
- Date de publication
- 1995
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782402474290
- Fichier PDF, avec Marquage en filigrane
6.49
Autre version disponible
Autour du riche patrimoine de l'Aisne, la musique ranime la mémoire : elle
l'engage sur les traces de La Fontaine et de Racine, à Château-Thierry et à La
Ferté-Milon, ou la conduit à Soissons, sur celles de Clovis. Elle la guide de
Fère-en-Tardenois à Saint-Michel-en-Thiérache, en passant par Laon et Saint-
Quentin, de voix en instruments, d'orgues en clavecin, de tribunes en musées.
Au fil d'un concert imaginaire, qui emprunte à une trentaine d'enregistrements
coproduits par Radio France et le Conseil général de l'Aisne depuis dix ans,
de Josquin Desprez à Widor, la musique prend place dans cet ouvrage en un
disque, pour accompagner les images et les mots. Jacques Drillon sait que «
les mots sont la représentation des choses ». Il dit que « pour mieux les
montrer dans leur nudité, La Fontaine cachait les hommes sous l'apparence
d'animaux ». Lui-même, a « caché les pierres sous l'apparence de phrases
françaises », et les annonce « dans leur sombre éclat, dans leur magnificence
noire et blanche » : celle que leur confère le regard sensible de Jean-Pierre
Gilson, livrant - à la curiosité émoussée de nos yeux - les révélations
essentielles de son objectif. « Beaucoup de cathédrales, de basiliques,
d'abbayes. Beaucoup d'histoire, beaucoup de pierres ; à présent, beaucoup de
musique. »
l'engage sur les traces de La Fontaine et de Racine, à Château-Thierry et à La
Ferté-Milon, ou la conduit à Soissons, sur celles de Clovis. Elle la guide de
Fère-en-Tardenois à Saint-Michel-en-Thiérache, en passant par Laon et Saint-
Quentin, de voix en instruments, d'orgues en clavecin, de tribunes en musées.
Au fil d'un concert imaginaire, qui emprunte à une trentaine d'enregistrements
coproduits par Radio France et le Conseil général de l'Aisne depuis dix ans,
de Josquin Desprez à Widor, la musique prend place dans cet ouvrage en un
disque, pour accompagner les images et les mots. Jacques Drillon sait que «
les mots sont la représentation des choses ». Il dit que « pour mieux les
montrer dans leur nudité, La Fontaine cachait les hommes sous l'apparence
d'animaux ». Lui-même, a « caché les pierres sous l'apparence de phrases
françaises », et les annonce « dans leur sombre éclat, dans leur magnificence
noire et blanche » : celle que leur confère le regard sensible de Jean-Pierre
Gilson, livrant - à la curiosité émoussée de nos yeux - les révélations
essentielles de son objectif. « Beaucoup de cathédrales, de basiliques,
d'abbayes. Beaucoup d'histoire, beaucoup de pierres ; à présent, beaucoup de
musique. »
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