- EAN13
- 9782809734706
- Éditeur
- Philippe Picquier
- Date de publication
- 31/01/2013
- Collection
- Littérature Grand Format
- Langue
- français
- Langue d'origine
- chinois
Livre numérique
Autre version disponible
-
Papier - Philippe Picquier Neuf 19,00Occasion 3,99
Titi, petite poupée au mince visage de porcelaine, vive et effrontée, passe
des mains d'un homme à un autre, en un chassé-croisé amoureux où chacun se
désire, se fuit, se blesse, se retrouve dans les nuits de Shanghai. Ateliers
d'artistes au bord de l'eau, galerie d'avant-garde, fêtes et lieux à la mode.
Loin d'être un décor, Shanghai est le coeur flamboyant de l'intrigue, la nuit
y est plus brillante que le jour, la vie s'y épanouit plus librement,
imprévisible, excessive, mystérieuse. Ces personnages ont parfois un appétit
de vivre si insatiable que le réel ne peut suffire à le satisfaire, seuls
l'art, l'imaginaire, peuvent le faire car ils sont sans limites. Leur abandon
aux forces fantasques de la vie s'accompagne d'un besoin de comprendre ce qui
leur arrive. C'est ainsi qu'aux émotions et à la sensualité qui les traversent
répond en miroir une réflexion sur la nature de l'art, l'illusion des
apparences, le passage du temps. Puis, les lumières de la nuit éteintes, on
découvre que la main du magicien est passée par là, puis repartie.
des mains d'un homme à un autre, en un chassé-croisé amoureux où chacun se
désire, se fuit, se blesse, se retrouve dans les nuits de Shanghai. Ateliers
d'artistes au bord de l'eau, galerie d'avant-garde, fêtes et lieux à la mode.
Loin d'être un décor, Shanghai est le coeur flamboyant de l'intrigue, la nuit
y est plus brillante que le jour, la vie s'y épanouit plus librement,
imprévisible, excessive, mystérieuse. Ces personnages ont parfois un appétit
de vivre si insatiable que le réel ne peut suffire à le satisfaire, seuls
l'art, l'imaginaire, peuvent le faire car ils sont sans limites. Leur abandon
aux forces fantasques de la vie s'accompagne d'un besoin de comprendre ce qui
leur arrive. C'est ainsi qu'aux émotions et à la sensualité qui les traversent
répond en miroir une réflexion sur la nature de l'art, l'illusion des
apparences, le passage du temps. Puis, les lumières de la nuit éteintes, on
découvre que la main du magicien est passée par là, puis repartie.
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