- EAN13
- 9782849908242
- Éditeur
- EDITIONS DES EQUATEURS
- Date de publication
- 13/01/2021
- Collection
- Documents
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
Rescapée du goulag chinois
Le premier témoignage d’une survivante ouïghoure
Gulbahar Haitiwaji, Rozenn Morgat
Editions Des Equateurs
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Aide EAN13 : 9782849908242
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Pendant trois ans, Gulbahar Haitiwaji a enduré des centaines d’heures
d’interrogatoire, la torture, la faim, la violence policière, le bourrage de
crâne, la stérilisation forcée, le froid, les nuits sous le néon d’une
cellule, les mécanismes de la destruction humaine. Née dans le Xinjiang, la
province des Ouïghours en Chine, Gulbahar vivait en France depuis de longues
années quand, un matin de novembre 2016, sa vie a basculé au cours d’un voyage
dans sa terre d’origine. Ce qu’elle a vu, entendu, vécu dans les entrailles du
système concentrationnaire chinois est terrifiant. Aujourd’hui, plus d’un
million de Ouïghours a été déporté dans des camps de « rééducation » par le
Parti communiste chinois, qui prétend lutter contre « le terrorisme,
l’infiltration et le séparatisme ». Les Xinjiang Papers, révélés par le New
York Times en novembre 2019, dénoncent une répression s’appuyant sur une
détention de masse, la plus foudroyante depuis l’ère Mao. Ces camps sont à la
Chine ce que le Goulag était à l’URSS. Les Ouïghours subissent un génocide :
nous ne pourrons pas dire, cette fois, que nous nous ne savions pas. Sauvée
grâce aux tractations acharnées de sa fille et du quai d’Orsay, Gulbahar est
la première rescapée des camps chinois à témoigner. Sa voix est essentielle.
En publiant ce livre, elle prend des risques terribles pour elle et sa famille
restée au Xinjiang. Un récit de vie brûlant, historique, auquel l’Occident ne
peut rester insensible.
d’interrogatoire, la torture, la faim, la violence policière, le bourrage de
crâne, la stérilisation forcée, le froid, les nuits sous le néon d’une
cellule, les mécanismes de la destruction humaine. Née dans le Xinjiang, la
province des Ouïghours en Chine, Gulbahar vivait en France depuis de longues
années quand, un matin de novembre 2016, sa vie a basculé au cours d’un voyage
dans sa terre d’origine. Ce qu’elle a vu, entendu, vécu dans les entrailles du
système concentrationnaire chinois est terrifiant. Aujourd’hui, plus d’un
million de Ouïghours a été déporté dans des camps de « rééducation » par le
Parti communiste chinois, qui prétend lutter contre « le terrorisme,
l’infiltration et le séparatisme ». Les Xinjiang Papers, révélés par le New
York Times en novembre 2019, dénoncent une répression s’appuyant sur une
détention de masse, la plus foudroyante depuis l’ère Mao. Ces camps sont à la
Chine ce que le Goulag était à l’URSS. Les Ouïghours subissent un génocide :
nous ne pourrons pas dire, cette fois, que nous nous ne savions pas. Sauvée
grâce aux tractations acharnées de sa fille et du quai d’Orsay, Gulbahar est
la première rescapée des camps chinois à témoigner. Sa voix est essentielle.
En publiant ce livre, elle prend des risques terribles pour elle et sa famille
restée au Xinjiang. Un récit de vie brûlant, historique, auquel l’Occident ne
peut rester insensible.
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