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Fragments du chœur, Vers et proses
Format
Broché
EAN13
9782207229859
ISBN
978-2-207-22985-9
Éditeur
Denoël
Date de publication
Collection
L'Infini
Nombre de pages
256
Dimensions
22 x 14 x 2 cm
Poids
345 g
Langue
français
Code dewey
844.914

Fragments du chœur

Vers et proses

De

Denoël

L'Infini

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  • Vendu par Librairie Le Livre.com
    Description
    RO20011137: 1984. In-8. Cartonné. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 246 pages. Comment vivre? Comment parler dans la dimension vive et retriouver en voisinege ce choeur vivant qui nous traverse par éclats?. quelle mémoire, quelle parole nous séduit et nous cite dans le chant? Tout ce qui fut écrit, tout ce qui fut dit dans cette langue, notre langue, résonne, résonne aujourd'hui en corps. Et notre mesure est cette disposition d'un corps de langue, d'une résurrection, d'un relèvement, d'un parfum, d'un chant, d'un tombeau vide (venez et voyez).... . . . Classification Dewey : 841-Poésie
    État de l'exemplaire
    Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais
    Format
    In-8
    Reliure
    Cartonné
    25.80 (Occasion)
«Comment vivre ? Comment parler dans la dimension vive et retrouver en voisinage ce chœur vivant qui nous traverse par éclats ? Quelle mémoire, quelle parole nous séduit et nous cite dans le chant ? Tout ce qui fut écrit, tout ce qui fut dit dans cette langue, notre langue, résonne aujourd'hui en corps. Et notre mesure est cette disposition d'un corps de langue, d'une résurrection, d'un relèvement, d'un parfum,
d'un chant, d'un tombeau vide (venez et voyez)... Tout ce que nous entendons et qui fut et qui vient et passe par l'oreille ; et en nous-même tout ce qui se dit dans les livres. Comment ne pas aimer cette partition de la langue, ces variantes que nous éveillons et qui nous justifient en un plaisir toujours nouveau, une lumière tracée dans le temps ? Comment ne pas soulever les questions qui portent cette traversée d'une lecture à l'autre, d'une écoute en obstacle ? Et qu'entendons-nous si nous n'entendons plus ce débat, cet ébat, cette poursuite dans la langue comme un art poétique : fragments d'un vaste chœur où la douleur du vécu (ici un ensemble de poèmes écrits à partir de la prise du pouvoir par les militaires en Pologne) et de l'actualité croise, en partition, l'emportement des lettres vives qui se composent, par exemple dans la singularité d'un accord, d'une "entente" avec les œuvres de Dante, de Shakespeare, de Bossuet, de Racine, de Mozart, de Baudelaire..., et brûlent dans l'ordonnance en clavier d'un nom.» Marcelin Pleynet.
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