- EAN13
- 9782702125229
- ISBN
- 978-2-7021-2522-9
- Éditeur
- Calmann-Lévy
- Date de publication
- 04/10/1995
- Collection
- Cal-Lévy-France de toujours et d'aujourd'hui
- Nombre de pages
- 320
- Dimensions
- 21 x 14 x 2,2 cm
- Poids
- 369 g
- Langue
- français
Pourquoi on m'a né ?
L'unité de soins intensifs du soir (1971-1995)
De Claude Avram, Professeur René Diatkine
Calmann-Lévy
Cal-Lévy-France de toujours et d'aujourd'hui
Trouvez les offres des librairies les plus proches :
ou
Offres
-
-
Vendu par Librairie Graffiti
- État de l'exemplaire
- ENVOI RAPIDE ET SOIGNE
- État de la jaquette
- 1995
14.90 (Occasion)
Certains enfants inquiètent les psychiatres par la discontinuité de leur vie psychique et le chaos de leur existence. Ils désespèrent les enseignants. Le maintien dans leur famille est précaire. Pourtant, toute mesure ségrégative, toute séparation ne font que renforcer une destinée malheureuse. Un traitement psychologique est nécessaire, mais les solutions habituelles échouent.
En 1971, René Diatkine créait, dans le XIIIe arrondissement de Paris, un dispositif nouveau, l'Unité de soins intensifs du soir, pour répondre à ces situations impossibles. Avec Claude Avram, il nous raconte cette aventure clinique et nous montre que le destin ne devient pas forcément une fatalité.
Ils en tirent une réflexion de portée plus générale : un sujet, aussi gravement perturbé soit-il, n'est pas réductible aux difficultés qu'il montre ; il conserve en lui les ressources permettant la reprise de son travail psychique.
René Diatkine, professeur de psychiatrie à Genève, psychanalyste, ancien président de la Société psychanalytique de Paris, est cofondateur de l'Association de santé mentale du XIIIe arrondissement.
Claude Avram, psychiatre, psychanalyste, membre de la Société psychanalytique de Paris, est responsable de l'U.S.I.S.
En 1971, René Diatkine créait, dans le XIIIe arrondissement de Paris, un dispositif nouveau, l'Unité de soins intensifs du soir, pour répondre à ces situations impossibles. Avec Claude Avram, il nous raconte cette aventure clinique et nous montre que le destin ne devient pas forcément une fatalité.
Ils en tirent une réflexion de portée plus générale : un sujet, aussi gravement perturbé soit-il, n'est pas réductible aux difficultés qu'il montre ; il conserve en lui les ressources permettant la reprise de son travail psychique.
René Diatkine, professeur de psychiatrie à Genève, psychanalyste, ancien président de la Société psychanalytique de Paris, est cofondateur de l'Association de santé mentale du XIIIe arrondissement.
Claude Avram, psychiatre, psychanalyste, membre de la Société psychanalytique de Paris, est responsable de l'U.S.I.S.
S'identifier pour envoyer des commentaires.
Autres contributions de...
-
Laurent Danon-Boileau, Professeur René Diatkine
-
19,50Professeur René Diatkine, Janine Simon
-
Serge Lebovici, Professeur René Diatkine, Michel Soulé