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Vie dans les tranchées / lettres d'un poilu à ses parents (1915-1917), lettres de Maurice Pensuet, 1915-1917
Format
Broché
EAN13
9782847347456
ISBN
978-2-84734-745-6
Éditeur
Tallandier
Date de publication
Collection
HIST.AUJOURD'H.
Nombre de pages
383
Dimensions
21,5 x 14,5 x 2,3 cm
Poids
430 g
Code dewey
940.412

Vie dans les tranchées / lettres d'un poilu à ses parents (1915-1917)

lettres de Maurice Pensuet, 1915-1917

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Tallandier

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  • Vendu par Librairie Le Livre.com
    Description
    R300266322: 2010. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paris, Tallandier, 2010, in 8, broché, photos, 374 pp.. . . . Classification Dewey : 940.3-Première Guerre mondiale 1914-1918
    État de l'exemplaire
    Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais
    Format
    In-8
    Reliure
    Broché
    25.80 (Occasion)
Alors que le dernier poilu a disparu, l’expérience des soldats de la Première Guerre mondiale ne cesse de nous fasciner. Maurice Pensuet a tout juste vingt ans lorsqu’il est mobilisé en 1915 comme soldat de 2e classe. Pendant vingt-sept mois de front, il écrit très régulièrement à ses parents. Issu d’un milieu modeste de commerçants d’une petite ville des bords de Loire, il était apprenti horloger. Et par là même, par la voix de ce « poilu comme les autres », c’est la majorité des jeunes hommes perdus dans la boucherie de la Grande Guerre qui se fait entendre. Jour après jour, il décrit son quotidien : désespoir, épuisement physique et moral mais aussi moments de joie partagés entre soldats. Car bien qu’il ne renâcle pas à monter à l’assaut, ce pacifiste comprend très vite que la guerre n’est pas près de finir. Il aspire alors à la bonne blessure, celle qui lui assurera la vie sauve sans l’amputer gravement. Ainsi les lettres de Maurice Pensuet à ses parents constituent un témoignage exceptionnel sur un aspect de la guerre mal connu : les rapports entre l’avant et l’arrière. Que pouvait écrire un poilu à ses parents ? Pouvait-il se faire comprendre ?

Manifestement non, ou du moins pas complètement. Là réside sans doute la qualité majeure de cette correspondance, qui manifeste à la fois la profondeur de l’amour filial et l’étrangeté radicale de l’expérience du feu, et nous rend ce jeune soldat infiniment sympathique. Ses lettres, pieusement conservées mois après mois dans une boîte de chaussures, ont été transcrites par son neveu Jean Pensuet et éditées par Antoine Prost, professeur à la Sorbonne, historien de la Grande Guerre.
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