- Format
- Broché
- EAN13
- 9782878580136
- ISBN
- 978-2-87858-013-6
- Éditeur
- Viviane Hamy
- Date de publication
- 1992
- Collection
- LITTERATURE ETR
- Nombre de pages
- 256
- Dimensions
- 21 x 13 x 2 cm
- Poids
- 501 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- hongrois
- Code dewey
- 894.511
Trouvez les offres des librairies les plus proches :
ou
Offres
-
Vendu par Démons et merveilles
- État de l'exemplaire
- French édition. Ancien livre de bibliothèque ( tamponné couvert ) qui présente des marques de stockage et/ou de lecture sur la couverture et/ou les pourtours mais reste en assez bon état d'ensemble. Expédition soignée depuis la France
- Format
- in8. 1992. Broché. 249 pages. Chaque maison cache un secret les murs ont des oreilles mais la bouche cousue. Il faut poser longtemps la joue contre leur sein comme un docteur fiévreux pour les entendre respirer. A Dun-le-Palestel dans la Creuse la maison de famille du narrateur en a si gros sur le c?ur et tant à dire qu'on va la confesser pièce après pièce l'écouter se raconter souvenirs dérangés vérités arrangées les choses et les gens tels qu'ils furent les échos et les ombres qu'il en reste. Elle finira bien par lâcher cequ'elle sait. Elle sait l'histoire d'un père qui lui avait choisi de se taire
5.95 (Occasion)
Alouette doit partir une semaine à la campagne. Ses vieux parents achèvent amoureusement la valise. Comment vont-ils survivre à une si longue absence ? Quand Alouette paraît, le sourire se fige. Elle a trente-cinq ans. Elle est laide. Très laide. Cette semaine sera la semaine de tous les possibles. Mais Alouette revient. Grossie, encore plus laide, encore plus grotesque. Tout rentre dans l'ordre. Et les parents, émus, soupireront : « À tire-d'aile notre petit oiseau nous est revenu. » « Alouette » est un des classiques incontestés de la littérature hongroise, et Kosztolányi le considérait comme son plus grand roman. « Le savoureux, délicat, pudique, émouvant Alouette de Dezsö Kosztolányi. Tout est juste, tout est déchirant dans ce livre : la valise qui résume les vains espoirs d'évasion, le papier à fleurs du salon, la cuiller qui tourne dans la tasse de thé. » - Le Nouvel Observateur
S'identifier pour envoyer des commentaires.