- Format
- Broché
- EAN13
- 9782357540316
- ISBN
- 978-2-35754-031-6
- Éditeur
- Oslo
- Date de publication
- 11/2010
- Collection
- Le temps qui passe
- Nombre de pages
- 201
- Dimensions
- 22 x 13 x 1 cm
- Poids
- 241 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 843
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Vendu par Démons et merveilles
- État de l'exemplaire
- French édition. Le livre qui n'a jamais été lu présente de légères marques de stockage sur la couverture et/ou les pourtours mais reste en très bon état d'ensemble. Expédition soignée depuis la France
- Format
- 22x13x1cm. 2010. Broché. Chaque maison cache un secret les murs ont des oreilles mais la bouche cousue. Il faut poser longtemps la joue contre leur sein comme un docteur fiévreux pour les entendre respirer. A Dun-le-Palestel dans la Creuse la maison de famille du narrateur en a si gros sur le c?ur et tant à dire qu'on va la confesser pièce après pièce l'écouter se raconter souvenirs dérangés vérités arrangées les choses et les gens tels qu'ils furent les échos et les ombres qu'il en reste. Elle finira bien par lâcher cequ'elle sait. Elle sait l'histoire d'un père qui lui avait choisi de se taire
8.90 (Occasion)
Le bleu du ciel biani biani
Aïcha et Fatou, les deux grandes filles de Niwalie sont jumelles. Jeunes femmes, elles viennent de se retrouver, après avoir été séparées dans l’enfance. Elles sont belles mais le corps blessé de l’une et le corps malade de l’autre sont inguérissables. Elles en veulent au monde entier, aux hommes en particulier... elles sont décidées à se venger. Dans ce roman social-sorcier, où l’on retrouve l’écriture libre-réaliste des auteurs, c’est une part de la vie ordinaire des femmes de Bangui qui nous est contée. Ici les femmes ont en effet le premier rôle qui n’est pas tou- jours un beau rôle.
Aïcha et Fatou, les deux grandes filles de Niwalie sont jumelles. Jeunes femmes, elles viennent de se retrouver, après avoir été séparées dans l’enfance. Elles sont belles mais le corps blessé de l’une et le corps malade de l’autre sont inguérissables. Elles en veulent au monde entier, aux hommes en particulier... elles sont décidées à se venger. Dans ce roman social-sorcier, où l’on retrouve l’écriture libre-réaliste des auteurs, c’est une part de la vie ordinaire des femmes de Bangui qui nous est contée. Ici les femmes ont en effet le premier rôle qui n’est pas tou- jours un beau rôle.
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