- Format
- Broché
- EAN13
- 9782721001931
- ISBN
- 978-2-7210-0193-1
- Éditeur
- Éditions des femmes-Antoinette Fouque
- Date de publication
- 1981
- Collection
- Fiction
- Nombre de pages
- 259
- Dimensions
- 17,9 x 13,3 x 1,8 cm
- Poids
- 237 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- portugais
- Code dewey
- 863.9
Água viva
De Clarice Lispector
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Éditions des femmes-Antoinette Fouque
Fiction
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Vendu par Librairie Le Livre.com
- Description
- R260255373: 1981. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos plié, Intérieur frais. 259 pages.. . . . Classification Dewey : 860-Littératures espagnole et portugaise
- État de l'exemplaire
- Bon état, Couv. convenable, Dos plié, Intérieur frais
- Format
- In-8
- Reliure
- Broché
85.00 (Occasion)
« Et je veux capturer le présent qui, par sa nature même, m'est interdit [...].
Mon thème est l'instant, mon thème de vie. Je cherche à lui être pareille, je me divise des milliers de fois en autant de fois que d'instants qui s'écoulent, fragmentaire que je suis et précaires les moments - je ne me m'engage qu'avec la vie qui naît avec le temps et avec lui grandit : c'est seulement dans le temps qu'il y a de l'espace pour moi. [...]
La musique ne se comprend pas : elle s'entend. Entends-moi alors avec ton corps tout entier. Quand tu arriveras à me lire, tu demanderas pourquoi je ne m'en tiens pas à la peinture et à mes expositions, puisque j'écris rude et de façon désordonnée. C'est que maintenant je sens le besoin de mots - et c'est nouveau pour moi ce que j'écris parce que ma vraie parole est restée jusqu'à présent intouchée. La parole est ma quatrième dimension. [...]» C. L.
Mon thème est l'instant, mon thème de vie. Je cherche à lui être pareille, je me divise des milliers de fois en autant de fois que d'instants qui s'écoulent, fragmentaire que je suis et précaires les moments - je ne me m'engage qu'avec la vie qui naît avec le temps et avec lui grandit : c'est seulement dans le temps qu'il y a de l'espace pour moi. [...]
La musique ne se comprend pas : elle s'entend. Entends-moi alors avec ton corps tout entier. Quand tu arriveras à me lire, tu demanderas pourquoi je ne m'en tiens pas à la peinture et à mes expositions, puisque j'écris rude et de façon désordonnée. C'est que maintenant je sens le besoin de mots - et c'est nouveau pour moi ce que j'écris parce que ma vraie parole est restée jusqu'à présent intouchée. La parole est ma quatrième dimension. [...]» C. L.
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