- Format
- Poche
- EAN13
- 9782070291342
- ISBN
- 978-2-07-029134-2
- Éditeur
- Gallimard
- Date de publication
- 03/12/1979
- Collection
- L'Imaginaire (51)
- Nombre de pages
- 602
- Dimensions
- 19 x 12,5 x 3,5 cm
- Poids
- 642 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- castillan, espagnol
- Code dewey
- 863
MARELLE traduit de l espagnol
De Julio Cortázar
Traduit par Laure Guille, Françoise Rosset
Gallimard
L'Imaginaire
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Vendu par Book Hémisphères
- État de l'exemplaire
- Occasion - Bon Etat - L'imaginaire - 1989 - 9782070291342 - Poche
4.63 (Occasion)
Autre version disponible
«Marelle est une sorte de capitale, un de ces livres du XXᵉ siècle auquel on retourne plus étonné encore que d'y être allé, comme à Venise. Ses personnages entre ciel et terre, exposés aux résonances des marées, ne labourent ni ne sèment ni ne vendangent : ils voyagent pour découvrir les extrémités du monde et ce monde étant notre vie c'est autour de nous qu'ils naviguent. Tout bouge dans son reflet romanesque, la fiction se change en quête, le roman en essai, un trait de sagesse zen en fou rire, le héros, Horacio Oliveira, en son double, Traveler, l'un à Paris, l'autre à Buenos Aires.Le jazz, les amis, l'amour fou - d'une femme, la Sibylle, en une autre, la même, Talita -, la poésie sauveront-ils Oliveira de l'échec du monde ? Peut-être... car Marelle offre plusieurs entrées et sorties. Un mode d'emploi nous suggère de choisir entre une lecture suivie, "rouleau chinois" qui se déroulera devant nous, et une seconde, active, où en sautant de case en case nous accomplirons une autre circumnavigation extraordinaire. Le maître de ce jeu est Morelli, l'écrivain dont Julio Cortázar est le double. Il cherche à ne rien trahir en écrivant et c'est pourquoi il commence à délivrer la prose de ses vieillesses, à "désécrire" comme il dit. D'une jeunesse et d'une liberté inconnues, Marelle nous porte presque simultanément au paradis où on peut se reposer et en enfer où tout recommence.»Florence Delay.
Commentaires des libraires
Conseillé par Lyonel
Lecteur passionné du poème de Baudelaire "À une passante", Julio Cortázar a retenu la leçon. La littérature doit être un surgissement. Amateur de l’Oulipo, il imagine un labyrinthe borgésien où l’on retrouve l’amour fou, la passion du jazz et l’obsession ...
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