- Format
- Broché
- EAN13
- 9782864600763
- ISBN
- 978-2-86460-076-3
- Éditeur
- Klincksieck
- Date de publication
- 1985
- Collection
- Collection Études anglaises
- Séries
- Rabelais restitué (2)
- Nombre de pages
- 746
- Dimensions
- 24 x 16 x 3,2 cm
- Poids
- 1092 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
1, du prologue au chapitre XXIV - Rabelais restitué. II - Gargantua
Tome 1 : du prologue au chapitre XXIV
De Marc Berlioz
Klincksieck
Collection Études anglaises
Trouvez les offres des librairies les plus proches :
ou
Offres
-
Vendu par Librairie Le Livre.com
- Description
- RO80254315: 1985. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos plié, Intérieur frais. 743 pages. Trois photos disponibles.. . . . Classification Dewey : 840.03-XVI ème siècle
- État de l'exemplaire
- Etat d'usage, Couv. convenable, Dos plié, Intérieur frais
- Format
- In-12
- Reliure
- Broché
155.00 (Occasion)
Autre version disponible
Autres livres dans la même série
cette mme place de l'tude critique du Pantagruel, nous disions, parlant de l'tude venir sur le Gargantua, que Marc Berlioz avait dj, pour celle-ci, mis au jour le contenu des fanfreluches antidotes auxquelles, comme on sait, personne n'avait vu le moindre sens. Or la signification de ces fanfreluches est bien l, extraite au moyen de la mthode employe pour le Pantagruel. Cela reprsente quelque soixante pages d'explications dont il ressort que le sens ne peut qu'tre celui que rvle le chercheur quoique, son habitude, il invite chacun rexaminer derrire lui, quitte le reprendre pourvu que ce soit pour mieux entendre.
Mais, comme pour le Pantagruel encore, ce n'est pas d'un seul morceau qu'il renouvelle la lecture, c'est de tout le texte, tout au moins du Prologue au chapitre XXIV. Car, pour ce Gargantua qui est peut-tre des cinq Livres celui qu'on a le plus analys, les recherches mener ont t si nombreuses qu'il a bien fallu faire deux tomes.
Ainsi, outre les fanfreluches, c'est le prologue qui est entendu d'une manire nouvelle, qui parat maintenant tre la seule bonne. C'est aussi le chapitre des propos de bienyures qui prend un nouveau relief. Mais c'est surtout un des chapitres o n'ont pas coutume de trop s'arrter les Rabelaisants, celui des deux cent seize jeux de Gargantua, pour lequel Marc Berlioz a dcouvert un sens second, vident par ce que montrent les cent soixante-quinze pages de minutieuse recherche philologique qu'il conduit en compagnie du lecteur, n'hsitant pas confesser ses hsitations et les reprises qui ont pu s'imposer mesure qu'il avanait.
Ce sont l les points forts. Mais, toujours comme pour la premire tude, c'est chaque chapitre qui lui donne l'occasion de corriger des mots mal compris, des phrases entires mal entendues, de redresser des intentions dnatures. Quant l'audace et la probit de la recherche dont nous parlions pour la premire tude, elles sont les mmes comme est la mme sa totale indpendance qui lui permet une libert de langage se passant des mnagements d'usage.
Nous ne saurions mieux faire que de citer Serge Bisarello, de l'Universit de Louvain, qui concluait ainsi l'article consacr Rabelais Restitu: I - Pantagruel, dans Les Lettres Romanes (N1-2, tome 35): On peut esprer que cet ouvrage, essentiel pour la critique rabelaisienne, trouvera la premire place dans toutes les bibliothques d'tudiants ou d'amateurs cultivs dsireux de mieux comprendre Rabelais .
Nous savons, nous, que l'ouvrage a pris place aussi dans la bibliothque de bien des professeurs; celui que donne aujourd'hui Marc Berlioz a toutes chances d'aller le rejoindre. Ainsi, aux Rabelaisants, universitaires ou non, les horizons que nous voquons pour la premire tude continuent de s'ouvrir.
Mais, comme pour le Pantagruel encore, ce n'est pas d'un seul morceau qu'il renouvelle la lecture, c'est de tout le texte, tout au moins du Prologue au chapitre XXIV. Car, pour ce Gargantua qui est peut-tre des cinq Livres celui qu'on a le plus analys, les recherches mener ont t si nombreuses qu'il a bien fallu faire deux tomes.
Ainsi, outre les fanfreluches, c'est le prologue qui est entendu d'une manire nouvelle, qui parat maintenant tre la seule bonne. C'est aussi le chapitre des propos de bienyures qui prend un nouveau relief. Mais c'est surtout un des chapitres o n'ont pas coutume de trop s'arrter les Rabelaisants, celui des deux cent seize jeux de Gargantua, pour lequel Marc Berlioz a dcouvert un sens second, vident par ce que montrent les cent soixante-quinze pages de minutieuse recherche philologique qu'il conduit en compagnie du lecteur, n'hsitant pas confesser ses hsitations et les reprises qui ont pu s'imposer mesure qu'il avanait.
Ce sont l les points forts. Mais, toujours comme pour la premire tude, c'est chaque chapitre qui lui donne l'occasion de corriger des mots mal compris, des phrases entires mal entendues, de redresser des intentions dnatures. Quant l'audace et la probit de la recherche dont nous parlions pour la premire tude, elles sont les mmes comme est la mme sa totale indpendance qui lui permet une libert de langage se passant des mnagements d'usage.
Nous ne saurions mieux faire que de citer Serge Bisarello, de l'Universit de Louvain, qui concluait ainsi l'article consacr Rabelais Restitu: I - Pantagruel, dans Les Lettres Romanes (N1-2, tome 35): On peut esprer que cet ouvrage, essentiel pour la critique rabelaisienne, trouvera la premire place dans toutes les bibliothques d'tudiants ou d'amateurs cultivs dsireux de mieux comprendre Rabelais .
Nous savons, nous, que l'ouvrage a pris place aussi dans la bibliothque de bien des professeurs; celui que donne aujourd'hui Marc Berlioz a toutes chances d'aller le rejoindre. Ainsi, aux Rabelaisants, universitaires ou non, les horizons que nous voquons pour la premire tude continuent de s'ouvrir.
S'identifier pour envoyer des commentaires.