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Wee Willie Winkie/Wee Willie Winkie, [selected stories]
Format
Poche
EAN13
9782070385713
ISBN
978-2-07-038571-3
Éditeur
Folio
Date de publication
Collection
Folio bilingue (FBI 000028)
Nombre de pages
416
Dimensions
17,7 x 10,7 x 1,8 cm
Poids
225 g
Langue
français
Langue d'origine
anglais

Wee Willie Winkie/Wee Willie Winkie

[selected stories]

De

Traduit par

Folio

Folio bilingue

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  • Vendu par Démons et merveilles
    État de l'exemplaire
    Bon état - . quelques marques de lecture et/ou de stodckage sur couverture et coins mais du reste en bon état - envoi rapide et soigné dans enveloppe à bulles depuis france
    Format
    10x2x17 8cm. 1992. pocket_book. 411 pages.
    5.00 (Occasion)

At the Pit's Mouth Once upon a time there was a Man and his Wife and a Tertium Quid. AII three were unwise, but the Wife was the unwisest. The Man should have looked after his Wife, who should have avoided the Tertium Quid, who, again, should have married a wife of his orwn, after clean and open flirtations, to which nobody can possibly object, round Jakko or Observatory Hill. When you see a young man with his pony in a white lather and his hat on the back of his head, flying downhill at fifteen miles an hour to meet a girl who will be properly surprised to meet him, you naturally approve of that young man, and wish him Staff appointments, and take an interest in his welfare, and, as the proper time comes, give them sugar-tongs or side-saddles according to your means and generosity. [...]Au bord de la fosse «Il était une fois un Homme, sa Femme et un Troisième Larron. Tous trois manquaient de sagesse, mais c'est l'épouse qui en manquait le plus. L'Homme aurait dû veiller sur sa femme, qui aurait dû éviter le Troisième Larron, qui, de son côté, aurait dû se trouver une épouse pour son propre compte, après quelques flirts honnêtes et publics, que personne ne puisse blâmer, dans les environs de Jakko ou d'Observatory Hill. Quand on voir un jeune homme sur un poney blanc d'écume, le chapeau rejeté sur l'arrière de la tête, dévaler une pente à quinze milles à l'heure pour aller à la rencontre d'une jeune fille qui sera convenablement surprise de le rencontrer, on considère naturellement ce jeune homme d'un œil approbateur, on lui souhaite d'être nommé au quartier général, on s'intéresse à son bien-être et, le moment venu, on leur offre à tous deux des pinces à sucre ou des selles d'amazone, selon ses moyens et sa générosité.» [...]
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