La Dimension esthétique. Pour une critique de l'esthétique marxiste
pour une critique de l'esthétique marxiste
De Herbert Marcuse
Autres contributions de Didier Coste
Seuil
Sciences humaines
Trouvez les offres des librairies les plus proches :
ou
Offres
-
Vendu par Librairie de l'Angle rouge15.00
-
Vendu par Librairie Le Livre.com
- Description
- R160185757: 1979. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 82 Pages. . . . Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne
- État de l'exemplaire
- Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais
- Format
- In-8
- Reliure
- Broché
65.25 (Occasion)
Le propos ? Ébranler, de l’intérieur du marxisme, le corps des dogmes qui s’y sont établis touchant l’art et la littérature.Réduire l’art à l’idéologie, au contenu, à la lutte des classes, c’était au fond reproduire l’enfermement et la clôture caractéristiquesde la société unidimensionnelle. Il faut au contraire affirmer que l’oeuvre d’art a une forme, et qu’elle parle de subjectivité: c’est précisément ce en quoi elle peut s’opposer à la massivité des valeurs dominantes, c’est là que se trouve la puissance révolutionnaire, libératrice, de la dimension esthétique.Contre les déceptions du monde, l’oeuvre d’art rappelle sans cesse la promesse de vie, « souvenir du bonheur qui fut jadis et qui veut faire retour ». Elle maintient en lumière le but que doit se fixer la praxis, perpétuant, contre toutes les forces qui cherchent à la réprimer, « le souvenir du momentde jouissance » – ou son annonce.
Du même auteur, aux mêmes éditions :Contre-révolution et révolte, 1973La fin de l’utopie, 1968
Du même auteur, aux mêmes éditions :Contre-révolution et révolte, 1973La fin de l’utopie, 1968
S'identifier pour envoyer des commentaires.