- Format
- Broché
- EAN13
- 9782721003553
- ISBN
- 978-2-7210-0355-3
- Éditeur
- Éditions des femmes-Antoinette Fouque
- Date de publication
- 28/08/1989
- Collection
- Fiction
- Nombre de pages
- 279
- Dimensions
- 18 x 13,5 x 1,8 cm
- Poids
- 255 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- pendjabi
- Code dewey
- 891.423
Le timbre fiscal
De Amrita Pritam
Traduit par Danielle Gill
Éditions des femmes-Antoinette Fouque
Fiction
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- État de l'exemplaire
- french edition- Livre de bibliothèque recyclé avec étiquette et couverture plastifiée - Remis sous blister -quelques marques de lecture et/ou de stockage mais du reste en très bon état - expédié soigneusement dans un emballage adapté depuis
- Format
- 17x13x2cm. 1989. Broché. 279 pages.
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L'histoire tourmentée du Panjab, partagé entre l'Inde et le Pakistan en 1947, et la situation de la femme dans la société indienne occupent une place importante dans l'oeuvre d'Amritâ Prîtam.
Ses parents étaient sikhs. Sa mère étant morte prématurément, Amritâ fut surtout éduquée par son père, un lettré très religieux. À seize ans, il lui fit épouser un homme auquel elle avait été « fiancée » à quatre ans. En 1947, Amritâ doit fuir Lahore, car la ville, appelée à faire partie du Pakistan, est le théâtre d'émeutes sanglantes entre sikhs et musulmans. Sahir, le poète musulman qu'elle aime alors, reste du côté pakistanais de la frontière. Elle le reverra beaucoup plus tard, après s'être séparée de son mari, Prîtam Singh. De ce dernier, elle a, par estime, adopté le nom, au lieu du ‘Kaur' (« Princesse ») qu'affixe à son prénom toute femme sikhe traditionnelle.
Ses parents étaient sikhs. Sa mère étant morte prématurément, Amritâ fut surtout éduquée par son père, un lettré très religieux. À seize ans, il lui fit épouser un homme auquel elle avait été « fiancée » à quatre ans. En 1947, Amritâ doit fuir Lahore, car la ville, appelée à faire partie du Pakistan, est le théâtre d'émeutes sanglantes entre sikhs et musulmans. Sahir, le poète musulman qu'elle aime alors, reste du côté pakistanais de la frontière. Elle le reverra beaucoup plus tard, après s'être séparée de son mari, Prîtam Singh. De ce dernier, elle a, par estime, adopté le nom, au lieu du ‘Kaur' (« Princesse ») qu'affixe à son prénom toute femme sikhe traditionnelle.
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