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Vendu par Book Hémisphères
- État de l'exemplaire
- Occasion - Bon Etat - Babel - 2013 - 9782330015060 - Poche
2.19 (Occasion)
En débarquant à Constantinople le 13 mai 1506, Michel-Ange sait qu’il brave la puissance et la colère de Jules II, pape guerrier et mauvais payeur, dont il a laissé en chantier l’édification du tombeau, à Rome. Mais comment ne pas répondre à l’invitation du sultan Bajazet qui lui propose, après avoir refusé les plans de Léonard de Vinci, de concevoir un pont sur la Corne d’Or ? Ainsi commence ce roman, tout en frôlements historiques, qui s’empare d’un fait exact pour déployer les mystères de ce voyage.
Troublant comme la rencontre de l’homme de la Renaissance avec les beautés du monde ottoman, précis et ciselé comme une pièce d’orfèvrerie, ce portrait de l’artiste au travail est aussi une fascinante réflexion sur l’acte de créer et sur le symbole d’un geste inachevé vers l’autre rive de la civilisation. Car à travers la chronique de ces quelques semaines oubliées de l’Histoire, Mathias Enard esquisse une géographie politique dont les hésitations sont toujours aussi sensibles cinq siècles plus tard.
Troublant comme la rencontre de l’homme de la Renaissance avec les beautés du monde ottoman, précis et ciselé comme une pièce d’orfèvrerie, ce portrait de l’artiste au travail est aussi une fascinante réflexion sur l’acte de créer et sur le symbole d’un geste inachevé vers l’autre rive de la civilisation. Car à travers la chronique de ces quelques semaines oubliées de l’Histoire, Mathias Enard esquisse une géographie politique dont les hésitations sont toujours aussi sensibles cinq siècles plus tard.
Commentaires des libraires
A partir de la figure de Michel-Ange, l'écrivain construit un roman poétique et sensible, il évoque le séjour de Michel-Ange à Constantinople où, en 1506, le sultan Bayazid aurait invité le maestro pour construire un pont entre Constantinople et le ...
Lire la suiteA partir de la figure de Michel-Ange, l'écrivain construit un roman poétique et sensible, il évoque le séjour de Michel-Ange à Constantinople où, en 1506, le sultan Bayazid aurait invité le maestro pour construire un pont entre Constantinople et le ...
Lire la suiteIl est un malentendu. A la rentrée 2008, un livre, comme tant d'autres, défraie, médiatiquement (autant dire vainement), la chronique. Un livre qui n'a pas de point (faux). Zone écrit par Mathias Enard. D'emblée, comme un Patrick Besson, je me ...
Lire la suiteNous sommes en 1506, Michel-Ange abandonne le chantier de l'édification du tombeau de Jules II car il est appelé à Constantinople par le sultan Bajazet pour construire un pont sur la Corne d 'Or, projet retiré à Léonard de Vinci. ...
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