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La Mère, roman
EAN13
9782234047624
ISBN
978-2-234-04762-4
Éditeur
Stock
Date de publication
Collection
Hors collection littérature étrangère
Nombre de pages
264
Dimensions
22,5 x 14 x 2,2 cm
Poids
335 g
Langue
français
Langue d'origine
anglais

La Mère

roman

De

Stock

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  • Vendu par Librairie Le Livre.com
    Description
    R160191187: 1997. In-8. Broché. Bon état, Couv. partiel. décollorée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 254 pages - Roman - Photographie sur la couverture - Annotation crayon à papier. . . . Classification Dewey : 810-Littérature américaine
    État de l'exemplaire
    Bon état, Couv. partiel. décollorée, Dos satisfaisant, Intérieur frais
    Format
    In-8
    Reliure
    Broché
    25.80 (Occasion)
La Mère
"[à] Cette femme qui perd son mari, sa fille puis son fils, comme une vivante dont on amputerait tous les membres l'un après l'autre, cette existence désolée qui n'est qu'un lent supplice, cette répétition invariable du malheur, cette absence de déclamation, ce ton uni, cette simplicité, cet intérêt qui vous captive dans ce manque d'aventures finissent par produire une souveraine impression de grandeur : c'est toute l'immensité de la plaine chinoise, ce labeur opiniâtre, éternel ; les choses, dans ce paysage, semblent se dérouler comme les lois de la nature, leur emprunter leur caractère d'indifférence et de nécessité. C'est la tranquillité des faits imperturbables, qu'aucune révolte n'arrête, qu'aucune prière ne conjure. Les scènes se succèdent avec la rigueur des saisons, de la floraison, de la chute des feuilles, de l'hiver et de la mort.
Il y a là une égalité, une pureté de dessin que je ne trouve nulle part dans la littérature anglaise, même chez une Jane Austen, et qui me font songer aux plus beaux contes d'un Tourgueniev ou d'un Tchekov"
Louis Gillet
Née en Virginie dans une famille de missionnaires présbytériens, Pearl Buck n'avait pas trois mois lorsqu'en 1892, elle arrivait dans une Chine qu'elle ne quitta pratiquement pas pendant trente-deux ans. Le chinois, appris bien avant l'anglais dans les bras d'une nourrice très aimée, était sa véritable langue maternelle. Aussi ne faut-il pas s'étonner que son amour de la Chine inspire et nourrisse l'essentiel de son oeuvre, une oeuvre qui lui valut de recevoir en 1938 le Prix Nobel de littérature. Pearl Buck est morte en 1973.
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