- Format
- Relié
- EAN13
- 9782737335648
- ISBN
- 978-2-7373-3564-8
- Éditeur
- Éditions Ouest-France
- Date de publication
- 12/10/2004
- Collection
- ALBUM
- Nombre de pages
- 124
- Dimensions
- 31 x 25 x 1,5 cm
- Poids
- 1009 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 750
Voyage d'un peintre breton au Japon Mathurin Méheut, avril-août 1914
oyage d'un peintre breton au Japon : Mathurin Méheut, avril-août 1914
De Élisabeth Jude, Hélène Jude, Patrick Jude
Éditions Ouest-France
Album
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Vendu par Papier Mouvant
- Description
- Couverture rigide • 124 pages : illustrations en noir et en couleurs, couverture et jaquette illustrées en couleurs ; 24,0 x 30,0 x 1,5 cm
- État de l'exemplaire
- Très bon
- Mots clefs
- || Méheut, Mathurin (1882-1958) · Thèmes, motifs || Japon · Dans l'art ||
- Langue
- français
29.00 (Occasion)
«Le paradis
des artistes,
décidément,
ce Japon.
Nara !...
Les dernières
fleurs de
cerisiers
tombent.
Tout dans
cette cité a
été réuni,
concentré
pour la joie
du peintre,
de l'architecte
ou du
littérateur.»
Mathurin Méheut,
Carnet de route.
Au début du XXe
siècle, Mathurin
Méheut travaillait à
Paris où régnaient
japonisme et Art
nouveau. Il fournissait
des études de
faune et de flore
correspondant aux
efforts d'interprétation
décorative
d'Eugène Grasset.
Le triomphe de son
exposition au
musée des Arts
décoratifs a été
suivi par l'attribution
de la bourse
«Autour du
Monde» financée
par le mécène
Albert Kahn.
L'artiste débarque
au Japon en avril
1914, dessine et
peint sans relâche.
Il est aidé par le
grand industriel
Katsutarô inabata
et par le peintre
Takeshirô
Kanokogui.
Méheut quitte le
Japon dès la proclamation
de la mobilisation
générale.
L'influence de son
séjour au Japon sur
son oeuvre se fait
sentir jusqu'à sa
mort en 1958.
Deux des auteurs
arrière-petites-filles
de Mathurin
Méheut, se sont
rendus au Japon
sur les traces de
leur aïeul afin
d'identifier avec
précision et voir les
lieux où l'artiste
avait travaillé et
fait oeuvre d'ethnographe
en ce début
de l'époque Talshô.
A la recherche
du Japon de 1914,
ils ont retrouvé
les descendants
de Inabata et
Kanokogui, photographié
et rédigé
un carnet de route
pendant leur périple
dans le Japon
d'aujourd'hui.
des artistes,
décidément,
ce Japon.
Nara !...
Les dernières
fleurs de
cerisiers
tombent.
Tout dans
cette cité a
été réuni,
concentré
pour la joie
du peintre,
de l'architecte
ou du
littérateur.»
Mathurin Méheut,
Carnet de route.
Au début du XXe
siècle, Mathurin
Méheut travaillait à
Paris où régnaient
japonisme et Art
nouveau. Il fournissait
des études de
faune et de flore
correspondant aux
efforts d'interprétation
décorative
d'Eugène Grasset.
Le triomphe de son
exposition au
musée des Arts
décoratifs a été
suivi par l'attribution
de la bourse
«Autour du
Monde» financée
par le mécène
Albert Kahn.
L'artiste débarque
au Japon en avril
1914, dessine et
peint sans relâche.
Il est aidé par le
grand industriel
Katsutarô inabata
et par le peintre
Takeshirô
Kanokogui.
Méheut quitte le
Japon dès la proclamation
de la mobilisation
générale.
L'influence de son
séjour au Japon sur
son oeuvre se fait
sentir jusqu'à sa
mort en 1958.
Deux des auteurs
arrière-petites-filles
de Mathurin
Méheut, se sont
rendus au Japon
sur les traces de
leur aïeul afin
d'identifier avec
précision et voir les
lieux où l'artiste
avait travaillé et
fait oeuvre d'ethnographe
en ce début
de l'époque Talshô.
A la recherche
du Japon de 1914,
ils ont retrouvé
les descendants
de Inabata et
Kanokogui, photographié
et rédigé
un carnet de route
pendant leur périple
dans le Japon
d'aujourd'hui.
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