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Les soeurs Essex, 4, Le plaisir apprivoisé, Les soeurs Essex
Format
Poche
EAN13
9782290008508
ISBN
978-2-290-00850-8
Éditeur
J'ai Lu
Date de publication
Collection
SENTIMENTAL POC (4)
Séries
Les soeurs Essex (4)
Nombre de pages
320
Dimensions
17,8 x 11 x 1,4 cm
Poids
175 g
Langue
français
Langue d'origine
anglais

4 - Le plaisir apprivoisé

Les soeurs Essex

De

J'ai Lu

Sentimental Poc

Indisponible

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Le plaisir apprivoisé Benjamine des quatre soeurs Essex, Joséphine est la seule à être encore célibataire. Et pour cause ! Celle que les mauvaises langues surnomment « la truie écossaise » en raison de son embonpoint est persuadée qu'aucun homme ne voudra jamais d'elle. Elle a beau se sangler dans un corset pour tenter d'aplatir ses formes généreuses, jamais elle n'aura une silhouette de sylphide, comme par exemple Mlle de la Broderie, la ravissante fiancée française du comte de Mayne. Lors d'un bal, bouleversée par les insultes d'un goujat, Joséphine se confie au comte. Attendri, celui-ci décide de lui apprendre en toute amitié l'art de séduire un homme. Très rapidement, l'élève plutôt douée remporte un franc succès... et le professeur, rongé de jalousie, ne sait plus à quel saint se vouer !
 
Questions à l'auteur :
il y a peu de coups de foudre dans vos romans. Les héros apprennent souvent à s’apprécier et à s’aimer en changeant beaucoup et en réfléchissant beaucoup sur eux mêmes. Est-ce que ce qui vous intéresse est justement cette évolution des personnages principaux ?
Eloisa James : oui, c’est tout à fait cela. Je ne crois pas au coup de foudre. Dans mon prochain livre, Affair before Christmas, le héros et l’héroïne sont plutôt tombés amoureux sur un coup de foudre puis se sont mariés. Le livre commence cinq ans plus tard, quand leur mariage est presque détruit. Le mariage est un affaire difficile et aimer sincèrement une autre personne est une bataille dure à gagner, je pense. L’amour véritable n’est pas basé sur les apparences mais sur le cœur et vous ne le voyez pas à la première rencontre.
 
Onirik : vous n’hésitez pas à décrire des personnages imparfaits : ils peuvent être égoïstes, buveurs, ambitieux… Est-ce une façon de les rendre plus humains ?
Eloisa James : pour moi, ils sont humains. Avant que je débute un récit, les personnages existent dans ma tête pendant des mois voire des années. Ils se battent, rient, mangent, agissent normalement. Ces détails peuvent ne jamais apparaître dans le livre mais j’en sais terriblement long sur chacun des personnages masculin ou féminin avant qu’ils ne soient couchés sur le papier.
 
Lire la suite de l’interview réalisée par Onirik
http://www.onirik.net/spip.php?article3860&var_recherche=Eloisa%20James
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