- Format
- Broché
- EAN13
- 9782020868709
- ISBN
- 978-2-02-086870-9
- Éditeur
- Seuil
- Date de publication
- 09/2006
- Collection
- ECONOMIE HUMAIN (1)
- Nombre de pages
- 288
- Dimensions
- 20,5 x 14 x 1,9 cm
- Poids
- 292 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Code dewey
- 332.042
Le Nouveau Mur de l'argent. Essai sur la finance globalisée
Essai sur la finance globalisée
De François Morin
Seuil
Economie Humain
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Vendu par Librairie La Folia
- État de l'exemplaire
- Bon état
- Format
- in-8
- Nombre de volumes
- 1
- Reliure
- Broché
- Langue
- Français
- Lieu de publication
- Paris
7.00 (Occasion)
Autre version disponible
L'histoire monétaire et financière que la France a connue dans l'entre-deux-guerres est en train de se répéter, mais, cette fois-ci, à l'échelle mondiale: l'action des grandes banques internationales dresse un nouveau «mur de l'argent» auquel se heurte la volonté des politiques. Cet ouvrage analyse l'architecture, la construction et les dangers de ce mur.
Il propose tout d'abord une évaluation précise de l'emprise de la finance globale sur l'économie réelle. Des tableaux inédits, exprimés dans une nouvelle unité de mesure (le téradollar, soit mille milliards de dollars), offrent une vision cohérente des flux financiers (capitaux) et des flux réels (biens et services) qui traversent l'économie mondiale.
Il met ensuite au jour le rôle singulier que joue les plus grandes banques mondiales. Depuis les années 1990, quelques dizaines de banques ont conquis le vrai pouvoir de régulation monétaire: ce sont elles désormais qui dictent effectivement l'évolution des taux d'intérêt, et non plus les Banques centrales. La revendication démocratique contestant l'indépendance des Banques centrales à l'égard du politique est donc déjà dépassée. Le pouvoir est ailleurs. Et cela est d'autant plus inquiétant que ce pouvoir semble incapable de nous éviter des catastrophes financières. Un des meilleurs spécialistes français ouvre ici une piste de réflexion pour une autre régulation de la finance globale.
Il propose tout d'abord une évaluation précise de l'emprise de la finance globale sur l'économie réelle. Des tableaux inédits, exprimés dans une nouvelle unité de mesure (le téradollar, soit mille milliards de dollars), offrent une vision cohérente des flux financiers (capitaux) et des flux réels (biens et services) qui traversent l'économie mondiale.
Il met ensuite au jour le rôle singulier que joue les plus grandes banques mondiales. Depuis les années 1990, quelques dizaines de banques ont conquis le vrai pouvoir de régulation monétaire: ce sont elles désormais qui dictent effectivement l'évolution des taux d'intérêt, et non plus les Banques centrales. La revendication démocratique contestant l'indépendance des Banques centrales à l'égard du politique est donc déjà dépassée. Le pouvoir est ailleurs. Et cela est d'autant plus inquiétant que ce pouvoir semble incapable de nous éviter des catastrophes financières. Un des meilleurs spécialistes français ouvre ici une piste de réflexion pour une autre régulation de la finance globale.
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