Le roman de l'été
Le petit Philippe s'ennuie sur la plage et donnerait tout pour passer rien qu'une journée au Club Mickey. Sa mère jacasse sous le parasol avec Natacha tandis que son père ronchonne car ce qu'il voudrait lui, c'est cueillir des champignons en montagne et marcher sur les chemins de randonnée. Sabrina fait le mur pour rejoindre son flirt de l'été et aller en discothèque au Lavandou, Gilles connaît un amour de vacances sur fond de nostalgie tandis que Pascal, lui, tente d'impressionner ses parents dans sa luxueuse villa avec vue sur la mer. Autant de tranches de vie que Jean-Philippe Blondel se plaît à partager avec nous avec pour théâtre commun la plage, le sable, la mer et le goût des vacances. On observe ces tranches de vie comme on épie par la fenêtre d'une maison de poupée et l'on ne se doute pas, au départ, que les enchevêtrements et imbrications seront nombreux et surprenants dans les vies des uns et des autres. A travers quatre décennies, on suit l'histoire de ces gens ordinaires qui s'ignorent, se croisent, se ratent ou se retrouvent, année après année, au gré du rituel des grandes vacances en bord de mer. Entre grands drames et petits bonheurs, joies et déceptions, on voit les destins s'entremêler et l'on plonge dans ces souvenirs, dans ces petits histoires qui sont celles d'une vie pour découvrir une comédie humaine totalement touchante qu'on lit avidement et avec un sourire aux lèvres, comme tout bon roman de plage qui se respecte.
Le parfait roman de l'été, à mettre entre toutes les mains
Le petit Philippe s'ennuie sur la plage et donnerait tout pour passer rien qu'une journée au Club Mickey. Sa mère jacasse sous le parasol avec Natacha tandis que son père ronchonne car ce qu'il voudrait lui, c'est cueillir des champignons en montagne et marcher sur les chemins de randonnée. Sabrina fait le mur pour rejoindre son flirt de l'été et aller en discothèque au Lavandou, Gilles connaît un amour de vacances sur fond de nostalgie tandis que Pascal, lui, tente d'impressionner ses parents dans sa luxueuse villa avec vue sur la mer. Autant de tranches de vie que Jean-Philippe Blondel se plaît à partager avec nous avec pour théâtre commun la plage, le sable, la mer et le goût des vacances. On observe ces tranches de vie comme on épie par la fenêtre d'une maison de poupée et l'on ne se doute pas, au départ, que les enchevêtrements et imbrications seront nombreux et surprenants dans les vies des uns et des autres. A travers quatre décennies, on suit l'histoire de ces gens ordinaires qui s'ignorent, se croisent, se ratent ou se retrouvent, année après année, au gré du rituel des grandes vacances en bord de mer. Entre grands drames et petits bonheurs, joies et déceptions, on voit les destins s'entremêler et l'on plonge dans ces souvenirs, dans ces petits histoires qui sont celles d'une vie pour découvrir une comédie humaine totalement touchante qu'on lit avidement et avec un sourire aux lèvres, comme tout bon roman de plage qui se respecte.
Le parfait roman de l'été, à mettre entre toutes les mains
Maison hantée et nostalgie 80s
Arty a 11 ans et est persuadé qu'une présence, tapie dans sa maison, a essayé de l'étrangler. Qu'une ombre, une chose, peut-être un spectre ou un croquemitaine, se cache dans la maison familiale avec la ferme intention de lui nuire. Bientôt, la peur ne le quitte plus et, tandis que ses journées dans la maison deviennent tout juste supportables, ses nuits s'avèrent terrifiantes et Arty aboutit à l'unique conclusion possible : sa maison cherche à le tuer. Peut-être cela a-t-il un lien avec les vieux objets que sa mère, antiquaire, accumule ? Peut-être que la construction-même de la maison, qui fut la première du lotissement, dissimule quelque chose ? Peut-être que l'histoire du village recèle de sombres épisodes ? Obsédé par cette théorie et bien décidé à élucider les mystères que dissimulent les murs de la demeure familiale, Arty embarque ses amis dans une quête afin de découvrir ce qui se cache entre les murs de la maison.
Dans ce premier roman, Raphaël Zamochnikoff nous embarque au coeur des années 80 et nous invite à suivre un adolescent et ses acolytes dans une quête que l'on pourrait croire insensée, mais dont semble dépendre la survie de notre jeune héros. Entre phénomènes inexpliqués, histoires familiales compliquées et secrets tristement révélés, on évolue dans les couloirs de cette maison, tantôt banale tantôt maléfique, observant les hauts et les bas d'une famille au sein de laquelle Arty s'efforce de grandir. Un roman d'apprentissage envoûtant qui vient titiller notre nostalgie d'enfant des 80's, avec ses références à Mad Movies et au ciné club sur VHS des samedis après-midis.
Arty a 11 ans et est persuadé qu'une présence, tapie dans sa maison, a essayé de l'étrangler. Qu'une ombre, une chose, peut-être un spectre ou un croquemitaine, se cache dans la maison familiale avec la ferme intention de lui nuire. Bientôt, la peur ne le quitte plus et, tandis que ses journées dans la maison deviennent tout juste supportables, ses nuits s'avèrent terrifiantes et Arty aboutit à l'unique conclusion possible : sa maison cherche à le tuer. Peut-être cela a-t-il un lien avec les vieux objets que sa mère, antiquaire, accumule ? Peut-être que la construction-même de la maison, qui fut la première du lotissement, dissimule quelque chose ? Peut-être que l'histoire du village recèle de sombres épisodes ? Obsédé par cette théorie et bien décidé à élucider les mystères que dissimulent les murs de la demeure familiale, Arty embarque ses amis dans une quête afin de découvrir ce qui se cache entre les murs de la maison.
Dans ce premier roman, Raphaël Zamochnikoff nous embarque au coeur des années 80 et nous invite à suivre un adolescent et ses acolytes dans une quête que l'on pourrait croire insensée, mais dont semble dépendre la survie de notre jeune héros. Entre phénomènes inexpliqués, histoires familiales compliquées et secrets tristement révélés, on évolue dans les couloirs de cette maison, tantôt banale tantôt maléfique, observant les hauts et les bas d'une famille au sein de laquelle Arty s'efforce de grandir. Un roman d'apprentissage envoûtant qui vient titiller notre nostalgie d'enfant des 80's, avec ses références à Mad Movies et au ciné club sur VHS des samedis après-midis.
Oh Betty !
Un récit d'une beauté absolue, triste, rude, troublant et néanmoins si doux. On se laisse bercer par les vieilles légendes cherokees contées sous les cieux étoilés, on tremble, on pleure parfois et puis quand on sort de tout cela, on se sent un peu orphelin. Prodigieux !
Un récit d'une beauté absolue, triste, rude, troublant et néanmoins si doux. On se laisse bercer par les vieilles légendes cherokees contées sous les cieux étoilés, on tremble, on pleure parfois et puis quand on sort de tout cela, on se sent un peu orphelin. Prodigieux !