- EAN13
- 9782746746015
- Éditeur
- Autrement
- Date de publication
- 18/10/2017
- Collection
- Les grands mots
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782746746008
-
Fichier EPUB, avec DRM Adobe
- Impression
-
Impossible
- Copier/Coller
-
Impossible
- Partage
-
6 appareils
- Lecture audio
-
Impossible
10.99 -
Fichier EPUB, avec DRM Adobe
-
Aide EAN13 : 9782746746015
-
Fichier PDF, avec DRM Adobe
- Impression
-
Impossible
- Copier/Coller
-
Impossible
- Partage
-
6 appareils
- Lecture audio
-
Impossible
10.99 -
Fichier PDF, avec DRM Adobe
Autre version disponible
-
Papier - Autrement Neuf 14,90Occasion 3,19
Alors qu’on assiste au crépuscule des grandes idéologies, rarement la
difficulté d’admirer aura paru si sensible, si propice aux éclats polémiques.
Pourtant, contre l’indifférence et le cynisme érigés en norme ou les
emballements immédiats devant tout et n’importe quoi, l’admiration reste une
force. La force de s’étonner et de s’incliner devant le beau, le sublime.
Toutefois, admirer ne signifie pas se soumettre. C’est même en cela que
l’admiration est le contraire de l’idolâtrie. Michel Crépu se penche sur les
vertus et les dangers de l’admiration et revisite les œuvres littéraires de
Stendhal, Cioran, Chateaubriand, Céline, Heidegger ou Barthes, et de grandes
figures historiques − Napoléon et Malraux notamment −, à la lumière de ce
sentiment que Descartes qualifiait de « première des passions ».
difficulté d’admirer aura paru si sensible, si propice aux éclats polémiques.
Pourtant, contre l’indifférence et le cynisme érigés en norme ou les
emballements immédiats devant tout et n’importe quoi, l’admiration reste une
force. La force de s’étonner et de s’incliner devant le beau, le sublime.
Toutefois, admirer ne signifie pas se soumettre. C’est même en cela que
l’admiration est le contraire de l’idolâtrie. Michel Crépu se penche sur les
vertus et les dangers de l’admiration et revisite les œuvres littéraires de
Stendhal, Cioran, Chateaubriand, Céline, Heidegger ou Barthes, et de grandes
figures historiques − Napoléon et Malraux notamment −, à la lumière de ce
sentiment que Descartes qualifiait de « première des passions ».
S'identifier pour envoyer des commentaires.