- Format
- Broché
- EAN13
- 9782251448503
- ISBN
- 978-2-251-44850-3
- Éditeur
- Les Belles Lettres
- Date de publication
- 19/09/2018
- Collection
- COLLECTION JAPO
- Nombre de pages
- 192
- Dimensions
- 22,1 x 16 x 1,6 cm
- Poids
- 305 g
- Langue
- français
Ève sous la neige
Tôkyô, 1947
De Jun Ishikawa
Traduit par Vincent Portier
Les Belles Lettres
Collection Japo
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« Les adultes d’aujourd’hui, ces charognes, les charognes de cette génération : tous, les uns comme les autres, sont des pourris. Ces enfoirés, on peut leur marcher dessus, les bourrer de coups de pied, on peut leur en faire voir de toutes les couleurs, on pourra jamais rien leur faire qui soit trop atroce. Ces charognes, je vais tous les mettre publiquement au défi et les foutre par terre. C’est mon droit, c’est celui de notre génération. »
La guerre est désormais finie et dans le Japon détruit, occupé par les Américains, règne une activité fébrile consacrée à la survie. Dans ce monde dominé par les trafiquants du marché noir, des femmes s’imposent, souvent devenues prostituées par nécessité. Sous l’œil de leurs partenaires masculins, elles deviennent sources de mystérieuses visions aux couleurs chrétiennes…
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L'ambiance de ces textes fait penser aux films noirs de Kurosawa. Mais les phrases longues, qui glissent poétiquement comme des cloisons de papier, expriment une société privée de repères moraux ou religieux qui tente de survivre.
Télérama - 20/10/2018
La guerre est désormais finie et dans le Japon détruit, occupé par les Américains, règne une activité fébrile consacrée à la survie. Dans ce monde dominé par les trafiquants du marché noir, des femmes s’imposent, souvent devenues prostituées par nécessité. Sous l’œil de leurs partenaires masculins, elles deviennent sources de mystérieuses visions aux couleurs chrétiennes…
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L'ambiance de ces textes fait penser aux films noirs de Kurosawa. Mais les phrases longues, qui glissent poétiquement comme des cloisons de papier, expriment une société privée de repères moraux ou religieux qui tente de survivre.
Télérama - 20/10/2018
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