- Format
- Relié
- EAN13
- 9782365112550
- ISBN
- 978-2-36511-255-0
- Éditeur
- Xavier Barral
- Date de publication
- 12/03/2020
- Collection
- Beaux livres
- Nombre de pages
- 159
- Dimensions
- 26,5 x 21,7 x 2,3 cm
- Poids
- 973 g
- Langue
- anglais
- Langue d'origine
- français
Marie Bovo, Nocturnes
Exposition, Paris, Fondation Henri Cartier-Bresson, du 25 février au 23 août 2020
De Marie Bovo
Xavier Barral
Beaux livres
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Cette monographie parcourt l'ensemble du travail de Marie Bovo où la photographe capture, entre chien et loup, des espaces occupés par diverses communautés, à la quête de leurs moindres traces, tout en laissant absente la figure humaine. Marseillaise d’adoption, la photographe s’intéresse particulièrement aux zones urbaines ou rurales du bassin méditerranéen et des côtes africaines : cours intérieures ou restaurant kebab à Marseille, camp de Roms dans les faubourgs de cette même ville, appartements vides à Alger ou cuisines aménagées en plein air au Ghana. « C’est moins l’architecture qui m’intéresse, dit-elle, que la façon dont elle est vécue. »
Les images de Marie Bovo donnent à voir les coulisses, ce qui est caché, ce qui demeure dans le silence.
Ses temps de pause très longs en lumière naturelle et réalisés à la chambre captent le moindre détail. Le temps et le mouvement sont des composantes avec lesquelles Marie Bovo construit ses images et invite le regardeur à en décortiquer chaque composante. Les objets disparaissent d’une image à l’autre, les lumières se déclinent en teintes presque irréelles, la photographie devient picturale. Cette révélation du flux de la vie dans un aller-retour permanent entre passé et présent suggère des récits à venir.
Les images de Marie Bovo donnent à voir les coulisses, ce qui est caché, ce qui demeure dans le silence.
Ses temps de pause très longs en lumière naturelle et réalisés à la chambre captent le moindre détail. Le temps et le mouvement sont des composantes avec lesquelles Marie Bovo construit ses images et invite le regardeur à en décortiquer chaque composante. Les objets disparaissent d’une image à l’autre, les lumières se déclinent en teintes presque irréelles, la photographie devient picturale. Cette révélation du flux de la vie dans un aller-retour permanent entre passé et présent suggère des récits à venir.
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