- Format
- Broché
- EAN13
- 9782070534142
- ISBN
- 978-2-07-053414-2
- Éditeur
- Découvertes Gallimard
- Date de publication
- 13/03/1998
- Collection
- Découvertes Gallimard - Arts (DGA 000347)
- Nombre de pages
- 160
- Dimensions
- 18,6 x 12,6 x 1 cm
- Poids
- 217 g
- Langue
- français
Delacroix
«Une fête pour l'œil»
De Annick Doutriaux, Arlette Sérullaz
Découvertes Gallimard
Découvertes Gallimard - Arts
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- Description
- R150231335: 160 pages - ACHEVE D'IMPRIMER EN 1998 - nombreuses illustrations en couleur et en noir et blanc en dehors et dans le texte - 1 autocollant sur le 2ème plat n'altérant pas la lecture Peinture In-12 Broché. Bon état. Couv. convenable. Dos satisfaisant. Intérieur frais Classification Dewey : 750-La peinture et les peintres
- État de l'exemplaire
- Bon état
- Format
- In-12
- Reliure
- Broché
19.80 (Occasion)
Tout à la fois romantique et classique, dilettante et bourreau de travail, solitaire et mondain, Eugène Delacroix a tout peint. Passionnément. D'une vaste érudition, il a trouvé son inspiration chez les plus grands, Shakespeare, Goethe, Byron et Dante. Passant librement du mythe à la réalité, il a traduit les souffrances de son siècle avec une rare puissance imaginative, Les Massacres de Scio, La Grèce sur les ruines de Missolonghi, La Liberté guidant le peuple, symbole à jamais de la révolution. En 1832 au Maroc, il découvre, fasciné, la lumière implacable et l'«Antiquité véritable» ; aquarelles et croquis se multiplient, pour constituer le substrat d'une centaine de tableaux dont les Femmes d'Alger (1834). De retour à Paris, il se voue aux «grandes lumières de la peinture murale» (Assemblée nationale, Sénat), et après avoir versé «tour à tour sur ses toiles inspirées le sang, la lumière et les ténèbres», livre à l'église Saint-Sulpice le dernier combat de sa vie, lui ce voltairien convaincu qui n'a cessé de confier à son Journal, en même temps que ses réflexions esthétiques, ses questions et ses doutes.Arlette Sérullaz et Annick Doutriaux éclairent l'univers de ce peintre-poète dans lequel Baudelaire voyait le «chef de l'école moderne».
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