- Format
- Relié
- EAN13
- 9782711861125
- ISBN
- 978-2-7118-6112-5
- Éditeur
- Réunion des Musées Nationaux
- Date de publication
- 15/10/2012
- Collection
- RMN ARTS DECORA
- Nombre de pages
- 146
- Dimensions
- 27 x 23,3 x 1,8 cm
- Poids
- 936 g
- Code dewey
- 398.469 - 704.947
LES SECRETS DE LA LICORNE cata 13
De Michel Pastoureau, Élisabeth Delahaye
Réunion des Musées Nationaux
Rmn Arts Decora
Trouvez les offres des librairies les plus proches :
ou
Offres
-
Vendu par Librairie Laubrière
- État de l'exemplaire
- Réunion des Musées Nationaux 2013, in-4 (27 x 23,5 cm) cartonnage illustré de l'éditeur, 143 p. (bel état) Première édition de cette belle étude, richement illustrée, consacrée à cette créature indomptable, symbole de pureté, dont la corne a pour vertu d'annihiler les effets du poison et d'éloigner les forces du mal...
25.00 (Occasion)
Décrite pour la première fois cinq siècles avant notre ère, la licorne a longtemps intrigué les zoologues, attiré les voyageurs, séduit les artistes et fait rêver les poètes. Mais cet animal composite, qui emprunte une partie de son anatomie au cerf, au bouc, à la jument, voire à l'âne, au lion ou à l'éléphant, existe-t-il vraiment ?
Jusqu'au début de l'époque moderne, les plus hautes autorités du savoir occidental - Aristote, Pline, la Bible, les bestiaires - ont répondu par l'affirmative ; et les images et les oeuvres d'art ont été nombreuses à la mettre en scène. Les premiers doutes apparaissent au XVIe siècle, mais ce n'est qu'à l'époque des Lumières que la licorne disparaît des manuels de zoologie. Désormais, seuls les artistes et les poètes lui restent fidèles et en font même, aux XIXe et XXe siècles, l'animal vedette de leur bestiaire onirique et symbolique.
La nouvelle présentation au musée de Cluny, à Paris, des célèbres tapisseries de La Dame à la licorne fournit l'occasion de faire le point sur l'histoire de cette créature indomptable, symbole de pureté et de virginité, dont la corne merveilleuse a pour vertu d'annihiler les effets du poison et d'éloigner les forces du mal.
Jusqu'au début de l'époque moderne, les plus hautes autorités du savoir occidental - Aristote, Pline, la Bible, les bestiaires - ont répondu par l'affirmative ; et les images et les oeuvres d'art ont été nombreuses à la mettre en scène. Les premiers doutes apparaissent au XVIe siècle, mais ce n'est qu'à l'époque des Lumières que la licorne disparaît des manuels de zoologie. Désormais, seuls les artistes et les poètes lui restent fidèles et en font même, aux XIXe et XXe siècles, l'animal vedette de leur bestiaire onirique et symbolique.
La nouvelle présentation au musée de Cluny, à Paris, des célèbres tapisseries de La Dame à la licorne fournit l'occasion de faire le point sur l'histoire de cette créature indomptable, symbole de pureté et de virginité, dont la corne merveilleuse a pour vertu d'annihiler les effets du poison et d'éloigner les forces du mal.
S'identifier pour envoyer des commentaires.
Autres contributions de...
-
39,00Thierry Crépin-Leblond, Geneviève Bresc-Bautier, Élisabeth Delahaye
-
Réunion des musées nationaux, Art institute