- Format
- Broché
- EAN13
- 9782711619344
- ISBN
- 978-2-7116-1934-4
- Éditeur
- Vrin
- Date de publication
- 09/2007
- Collection
- ETUDES ET COMM
- Nombre de pages
- 240
- Dimensions
- 21,5 x 13,5 x 1,4 cm
- Poids
- 305 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 193
L'Introduction à la métaphysique de Heidegger
Contributions de Jean-François Courtine, Françoise Dastur
Vrin
Etudes Et Comm
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En 1952, Heidegger donne son premier cours public après qu’a été levée l’interdiction d’enseigner qui le frappait : Qu’appelle-t-on penser? connaît un grand retentissement. En 1953, il met au point la première publication d’un de ses cours en même temps qu’il prépare une édition revue d’Être et temps (la septième, qui fait encore autorité). Dans un avant-propos, il mentionne le cours de 1935, Introduction à la métaphysique, comme un document privilégié pour éclaircir la question de l’être telle qu’elle a été frayée en 1927 et pour autant qu’elle est encore susceptible de « mettre en mouvement notre être-là ». C’est assez dire l’importance de ce cours qui, par ailleurs, témoigne d’une première réflexion et prise de distance par rapport à l’épisode, pour le moins malheureux, du Rectorat.
Dans cette Introduction, Heidegger met pour la première fois en pleine lumière le tournant de sa pensée qui, après Nietzsche, interrogeait le commencement grec d’avant Platon et Aristote, mais aussi la conception qu’avaient de l’homme les tragiques, et en particulier ici celle que présente Sophocle dans Antigone. Par cette attention aux « paroles » de la langue greque, ce n’est en rien un retour aux grecs qui est engagé mais bien une première méditation endurante de l’historicité occidentale, de la technè et des figures du nihilisme.
Les dix études ici réunies s’attachent toutes à situer le cours de 1935 dans le parcours de Heidegger et à en proposer un « commentaire » suivi, attentif à l’économie du cours et à ses principaux motifs.
Dans cette Introduction, Heidegger met pour la première fois en pleine lumière le tournant de sa pensée qui, après Nietzsche, interrogeait le commencement grec d’avant Platon et Aristote, mais aussi la conception qu’avaient de l’homme les tragiques, et en particulier ici celle que présente Sophocle dans Antigone. Par cette attention aux « paroles » de la langue greque, ce n’est en rien un retour aux grecs qui est engagé mais bien une première méditation endurante de l’historicité occidentale, de la technè et des figures du nihilisme.
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