- Format
- Broché
- EAN13
- 9782754108676
- ISBN
- 978-2-7541-0867-6
- Éditeur
- Hazan
- Date de publication
- 16/03/2016
- Collection
- Catalogues d'exposition
- Nombre de pages
- 144
- Dimensions
- 24 x 27 x 1,5 cm
- Poids
- 778 g
- Langue
- français
Hélène Hoppenot. Le monde d'hier (1933-1956)
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- Née en 1894, Hélène Delacour devient à 23 ans l’épouse du diplomate Henri Hoppenot qu’elle accompagnera pendant quarante ans à travers le monde. Écrivain, traductrice, musicienne, Hélène Hoppenot est une intellectuelle et une artiste qui ne suit pas seulement son mari mais s’intéresse avec passion aux cultures et aux personnes qu’elle rencontre au cours de ses nombreux séjours.
Dès 1933 à son arrivée en Chine, elle arrête son Journal pour photographier. « Ne sachant ni dessiner, ni peindre il ne me restait que la photographie que j’ai apprise seule et par l’observation », écrit-elle. C’est une photographe intelligente qui constamment tourne autour de son sujet, pour non le saisir, mais pour le cerner. C’est à cette photographie sensible à la beauté des choses, fussent-elles les plus étranges, qu’Hélène Hoppenot sera fidèle tout au long de ses nombreux voyages, le Mexique (1952) puis le Guatemala et le Pérou (1953 et 1955), après Rome (1951) et la Tunisie (1950). Mais également Washington, durant la guerre, quand son mari y représente la France Libre du général De Gaulle, puis comme ambassadeur auprès de l’ONU, et qu’elle y fréquente de nombreuses célébrités, tels que Fernand Léger, Calder et Marcel Duchamp. Grâce à elle, on dispose d’une collection de plusieurs milliers de photographies dont on perçoit l’inaltérable saveur d’un monde disparu. Cette exposition de 150 photographies nous donne à voir notamment cette Chine que Claudel avoue avoir tant aimée, mais aussi le Mexique tel que le découvrit André Breton, la Rome inchangée de Stendhal.
En coédition avec le Pavillon Populaire de Montpellier.
Dès 1933 à son arrivée en Chine, elle arrête son Journal pour photographier. « Ne sachant ni dessiner, ni peindre il ne me restait que la photographie que j’ai apprise seule et par l’observation », écrit-elle. C’est une photographe intelligente qui constamment tourne autour de son sujet, pour non le saisir, mais pour le cerner. C’est à cette photographie sensible à la beauté des choses, fussent-elles les plus étranges, qu’Hélène Hoppenot sera fidèle tout au long de ses nombreux voyages, le Mexique (1952) puis le Guatemala et le Pérou (1953 et 1955), après Rome (1951) et la Tunisie (1950). Mais également Washington, durant la guerre, quand son mari y représente la France Libre du général De Gaulle, puis comme ambassadeur auprès de l’ONU, et qu’elle y fréquente de nombreuses célébrités, tels que Fernand Léger, Calder et Marcel Duchamp. Grâce à elle, on dispose d’une collection de plusieurs milliers de photographies dont on perçoit l’inaltérable saveur d’un monde disparu. Cette exposition de 150 photographies nous donne à voir notamment cette Chine que Claudel avoue avoir tant aimée, mais aussi le Mexique tel que le découvrit André Breton, la Rome inchangée de Stendhal.
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