www.leslibraires.fr
Les divisions du pape
Format
Broché
EAN13
9782262066208
ISBN
978-2-262-06620-8
Éditeur
Perrin
Date de publication
Nombre de pages
345
Dimensions
21,1 x 14,1 x 3,1 cm
Poids
425 g
Langue
français

Les divisions du pape

De

Perrin

Trouvez les offres des librairies les plus proches :
ou
entrez le nom de votre ville

Offres

  • Vendu par Librairie Laubrière
    État de l'exemplaire
    Perrin 2016, in-8 broché, 349 p. (plis au dos, sinon bel état ; épuisé) Notes, bibliographie et index. Le titre du livre renvoie clairement à la remarque ironique de Staline, "Le pape, combien de divisions ?", le chef de l'empire athée oubliant la force morale considérable d'une institution qui a survécu à tous les dictateurs de ce siècle sanglant. Etude intelligente et bien documentée.
    16.00 (Occasion)

Autre version disponible

« Le pape, combien de divisions ? » Cette repartie ironique de Staline à Pierre Laval, qui lui demandait un geste envers le Vatican, témoigne du sentiment de supériorité que le maître de l’URSS éprouvait à l’encontre de la papauté et qu’il partageait avec Hitler et Mussolini. En effet, de quelles troupes les papes disposent-ils pour combattre les Etats totalitaires et leur volonté de contrôle absolu des sociétés et des individus ?
En réalité, le Vatican eut d’autres moyens pour survivre aux sanguinaires ambitions du fascisme, du nazisme et du communisme. Face aux dictateurs du XXe siècle, les papes ont emprunté des chemins parfois sinueux, alterné condamnations et discussions, signé des accords avec des régimes dont ils pourfendaient l’idéologie non seulement pour préserver l’Eglise et ses fidèles, mais aussi au nom d’une certaine conception de l’homme.
C’est l’histoire de cette étrange mais réelle confrontation que raconte ce livre. S’appuyant sur les avancées historiographiques les plus récentes, l’auteur couvre pour la première fois toute la période des totalitarismes de 1917 à 1989, décrypte les évolutions de la diplomatie vaticane et apporte une réponse claire, précise et documentée à la méprisante question de Staline.
S'identifier pour envoyer des commentaires.